Le Hamas accuse Israël d’imposer de nouvelles conditions et de retarder un accord
Dans un communiqué, le groupe terroriste palestinien du Hamas affirme que les pourparlers en vue d’un éventuel cessez-le-feu et d’un accord pour la libération des otages sont retardés par l’imposition de nouvelles conditions de la part d’Israël.
Le Hamas affirme que les pourparlers « se déroulent sérieusement à Doha avec la médiation du Qatar et de l’Égypte » et que le groupe terroriste « a fait preuve de responsabilité et de flexibilité ».
Toutefois, le groupe terroriste affirme qu’Israël « a posé de nouvelles questions et conditions concernant le retrait [des troupes], le cessez-le-feu, les prisonniers [palestiniens incarcérés pour atteinte à la sécurité en Israël] et le retour des personnes déplacées, ce qui a retardé la conclusion de l’accord qui était sur la table ».
Les divergences entre Israël et le Hamas au sujet d’un éventuel accord de libération d’otages et de cessez-le-feu à Gaza se sont réduites, selon les remarques des responsables israéliens et palestiniens en début de semaine, bien que des différences cruciales doivent encore être résolues. Le groupe terroriste palestinien n’aurait pas encore remis la liste des otages, vivants ou morts, à libérer dans le cadre de la première étape d’une éventuelle trêve.
La guerre a commencé avec le pogrom perpétré par le groupe terroriste palestinien du Hamas le 7 octobre 2023 quelque 6 000 Gazaouis dont 3 800 terroristes dirigés par le Hamas ont pris d’assaut le sud d’Israël, tué plus de 1 200 personnes, principalement des civils, enlevé 251 otages de tous âges – commettant de nombreuses atrocités et perpétrant des violences sexuelles à grande échelle.