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USA : l’épouse d’un Juif sous assistance respiratoire demande l’annulation de son certificat de décès

Yechezkel Nakar, 68 ans, a été déclaré mort par un hôpital de New York car il était dans un état de mort cérébrale suite à une attaque, mais il est maintenu en vie par des respirateurs

Dans la ville de New York, à Brooklyn, la Cour suprême de l'état de New York - Kings County (Crédit : CC BY Vincent Desjardins, Flickr)
Dans la ville de New York, à Brooklyn, la Cour suprême de l'état de New York - Kings County (Crédit : CC BY Vincent Desjardins, Flickr)

L’épouse d’un homme de Brooklyn placé sous assistance respiratoire a demandé à la Cour suprême de Brooklyn d’annuler un certificat de décès qui, selon elle, a été émis par erreur.

L’hôpital presbytérien de New York a émis le certificat de décès de Yechezkel Nakar, 68 ans, plusieurs semaines après son admission à l’hôpital en raison d’une accident vasculaire cérébral, a annoncé dimanche le New York Post. Il avait été placé sous assistance respiratoire.

Les médecins de l’établissement ont déclaré sa mort cérébrale au premier jour de Shavouot, et ont édité un certificat de décès électronique.

Mais Nakar est resté sous assistance respiratoire au Centre médical Maïmonide, où l’hôpital presbytérien de New York l’avait transféré après l’émission du certificat de décès.

Son épouse, Sarah, qui s’est opposée à ce que l’assistance respiratoire de son mari soit retirée pour des raisons religieuses, a porté plainte contre l’hôpital à la fin de la semaine dernière. Elle demande au tribunal d’annuler le certificat de décès de manière à pouvoir remplir les déclarations d’assurance pour son traitement actuel.

« L’homme est encore en vie et la famille est désespérée face à cette situation », a expliqué au Post son avocat, Morton Avigdor.

Le rabbin J. David Bleich, professeur de loi juive à l’école de droit de Cardozo et expert en éthique biomédicale, a indiqué au Post que les patients en état de mort cérébrale maintenus en vie par des respirateurs meurent typiquement entre trois et douze jours, et qu’il existe « une marge d’erreur notamment sur des critères neurologiques ».

L’hôpital presbytérien de New York a refusé de commenter l’affaire auprès du Post.

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