Israël en guerre - Jour 467

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Le ministre du Patrimoine réagit suite à la vidéo de l’otage Liri Albag

Selon Amichaï Eliyahu, la vidéo "fabriquée de toutes pièces" des sévices infligés à un prisonnier palestinien, diffusée cet été, prolonge les souffrances des otages

Le ministre du Patrimoine Amichaï Eliyahu lors de la conférence annuelle du groupe 'Besheva', à Jérusalem, le 26 février 2024. (Crédit : Yonatan Sindel/Flash90)
Le ministre du Patrimoine Amichaï Eliyahu lors de la conférence annuelle du groupe 'Besheva', à Jérusalem, le 26 février 2024. (Crédit : Yonatan Sindel/Flash90)

Suite à la publication par le groupe terroriste palestinien du Hamas d’une vidéo montrant Liri Albag, une soldate israélienne prise en otage le 7 octobre 2023, le ministre du Patrimoine, Amichaï Eliyahu, a affirmé samedi que les otages souffraient de la fuite d’une vidéo montrant des soldats israéliens maltraitant un détenu palestinien cet été.

« Le prix de la ‘fabrication’ de toutes pièces des vidéos calomnieuses dans l’affaire Sde Teiman est chèrement payé par ceux qui sont retenus en otage dans les tunnels du Hamas », a écrit Eliyahu sur le réseau social X, affirmant que « chaque jour où la légitimité de Tsahal est sapée = un jour de plus [pour les otages] dans les tunnels du Hamas ».

« Quiconque est à l’origine de cette diffamation du sang doit être traduit en justice », a-t-il ajouté, utilisant un terme qui fait référence aux allégations infondées de meurtres rituels commis par des Juifs au Moyen Âge, et qui servent de prétexte à la violence antisémite.

Les députés de la coalition avaient condamné la fuite d’images diffusées par la chaîne N12 en août, qui prétendaient montrer des militaires en train d’abuser sexuellement d’un prisonnier de sécurité palestinien dans le centre de détention de Sde Teiman. Le 29 juillet, une foule ultranationaliste avait fait irruption dans les deux bases militaires afin d’interrompre les procédures judiciaires engagées contre les réservistes soupçonnés d’avoir commis ces abus.

Lors d’une audience à la Haute Cour la semaine dernière, un avocat de l’un des suspects dans l’affaire des abus a affirmé que la vidéo avait été montée à partir de séquences de deux jours distincts, dont l’un où la victime présumée n’était même pas présente, a rapporté Ynet.

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