Israël en guerre - Jour 494

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Tsahal très inquiète sur « le sort » des deux derniers enfants otages du Hamas à Gaza

Tsahal : 3 soldats blessés, dont un grièvement, lors d'une opération antiterroriste à Jénine ; Gaza : Israël conditionne le retour des habitants vers le nord à la libération d'une otage civile, Arbel Yehud ; Le Hamas a violé l'accord en ne libérant pas d'abord toutes les femmes civiles ; Les civiles Arbel Yehud, Shiri Bibas et la soldate Agam Berger sont toujours en captivité

Une ministre d’extrême droite dénonce le cérémonial « écœurant » de remise d’otages par le Hamas à Gaza et appelle à la reprise de la guerre

La ministre des Implantations et des Projets nationaux, Orit Strouk, assistant à une réunion de la faction HaTzionout HaDatit, à la Knesset, à Jérusalem, le 11 novembre 2024. (Crédit : Yonatan Sindel/Flash90)
La ministre des Implantations et des Projets nationaux, Orit Strouk, assistant à une réunion de la faction HaTzionout HaDatit, à la Knesset, à Jérusalem, le 11 novembre 2024. (Crédit : Yonatan Sindel/Flash90)

La ministre des Implantations et des Missions nationales, Orit Strouk, fustige le groupe terroriste palestinien du Hamas pour son « spectacle écœurant », qui a fait défiler les quatre soldates de surveillance libérées aujourd’hui devant une foule de Gazaouis avant de les confier à la Croix-Rouge, et appelle à la reprise des combats à Gaza.

« J’ose parler au nom de tous ceux qui se réjouissent du retour à la maison de Karina, Daniella, Naama et Liri et qui, dans le même temps, ont le cœur brisé par la démonstration écœurante des terroristes sur la place de Gaza et par la certitude que si nous ne revenons pas à la raison, le Hamas reviendra pour rétablir son empire terroriste dans la bande de Gaza et que ces images terribles se répéteront encore et encore », déclare la ministre d’extrême droite.

« Si l’État d’Israël veut vivre, il est obligé d’éradiquer le Hamas de la surface de la Terre et de ne pas s’arrêter avant d’avoir accompli sa mission. »

Tsahal a effectué des coups de semonce contre plusieurs menaces à Gaza au cours de la journée écoulée, mais n’a pas eu connaissance d’avoir touché des suspects

Au cours de la journée écoulée, l’armée israélienne a indiqué que les troupes encore déployées dans la bande de Gaza avaient procédé à des tirs de sommation face à plusieurs menaces.

Dans le centre de Gaza, Tsahal dit avoir identifié plusieurs rassemblements de dizaines de suspects « qui constituaient une menace pour les troupes ». En réponse, les troupes ont effectué des coups de semonce pour les disperser.

L’armée précise que, contrairement aux informations diffusées par les médias palestiniens selon lesquelles une personne a été tuée et deux douzaines d’autres blessées, tous ses tirs étaient des tirs de sommation qui ne visaient personne directement.

« Nous insistons sur le fait qu’à l’heure actuelle, nous n’avons pas connaissance de suspects touchés par les tirs », précise Tsahal.

« Tsahal est déterminé à appliquer pleinement les termes de l’accord de restitution des otages. L’armée est prête à faire face à tous les scénarios et continuera à prendre toutes les mesures nécessaires pour éliminer toute menace immédiate contre les soldats de Tsahal. »

« L’armée appelle une fois de plus les civils palestiniens à obéir aux instructions de Tsahal et à ne pas s’approcher des forces déployées dans la région », ajoute l’armée.

Des images montrent des prisonniers de sécurité palestiniens transférés en Égypte dans le cadre de l’accord téléphonant à leurs proches après leur libération

Des images diffusées sur les réseaux sociaux montrent des prisonniers palestiniens incarcérés pour atteinte à la sécurité en Israël tout juste libérés et transférés en Égypte téléphonant à leurs proches après leur libération.

Les anciens prisonniers, libérés aujourd’hui par Israël dans le cadre de l’accord de libération d’otages contre prisonniers, comprennent certains responsables de la préparation d’attentats-suicides meurtriers au cours des dernières décennies.

Tsahal empêche les célébrations et les défilés en Cisjordanie pour les prisonniers palestiniens libérés dans le cadre de l’accord

L'un des prisonniers palestiniens libérés dans le cadre de l'accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas réagissant alors qu'il est porté sur les épaules d'autres personnes après avoir débarqué d'un des bus du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) à son arrivée à Ramallah, le 25 janvier 2025. (Crédit : Zain Jaafar/AFP)
L'un des prisonniers palestiniens libérés dans le cadre de l'accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas réagissant alors qu'il est porté sur les épaules d'autres personnes après avoir débarqué d'un des bus du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) à son arrivée à Ramallah, le 25 janvier 2025. (Crédit : Zain Jaafar/AFP)

L’armée israélienne a empêché les célébrations et les défilés en Cisjordanie en l’honneur des prisonniers palestiniens incarcérés pour atteinte à la sécurité en Israël libérés aujourd’hui dans le cadre de l’accord de cessez-le-feu avec le groupe terroriste palestinien du Hamas.

Tsahal et l’agence de sécurité intérieure du Shin Bet ont appelé les familles de tous les prisonniers libérés aujourd’hui et se sont rendus à leur domicile, les mettant en garde contre les célébrations publiques.

Une source militaire indique que les troupes ont vidé un chapiteau dans le village d’al-Mughayyir qui devait être utilisé pour célébrer la libération d’un des prisonniers, et ont saisi des drapeaux du Hamas à Bayt Liqya.

Après un défilé à Kafr Aqab à Jérusalem Est, les troupes sont arrivées pour disperser le rassemblement, et ont opéré au domicile du prisonnier libéré, ajoute la source.

Le bureau de Netanyahu diffuse de nouvelles images des otages libérées à bord d’un hélicoptère vers le centre d’Israël, retrouvant leurs familles

L'otage libérée Naama Levy serrant un proche dans ses bras après avoir retrouvé sa famille, au centre hospitalier Rabin, à Petah Tikva, le 25 janvier 2025. (Crédit : Haïm Zach/GPO)
L'otage libérée Naama Levy serrant un proche dans ses bras après avoir retrouvé sa famille, au centre hospitalier Rabin, à Petah Tikva, le 25 janvier 2025. (Crédit : Haïm Zach/GPO)

Le bureau du Premier ministre publie de nouvelles photos et vidéos des otages libérées Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag retrouvant leurs familles à leur retour en Israël.

Une vidéo du bureau du porte-parole de l’armée israélienne montre les quatre jeunes femmes à bord de l’hélicoptère avec leurs familles depuis la frontière de Gaza jusqu’au centre hospitalier Rabin, à Petah Tikva.

Naama brandit un tableau blanc à bord de l’hélicoptère sur lequel on peut lire en anglais « Finally HOME ! » et en hébreu : « Thank you to the people of Israel » (Merci au peuple d’Israël).

Daniella, émue, fond en larmes en retrouvant sa famille élargie à l’intérieur de l’hôpital, tandis que Liri hurle de joie en serrant ses frères et sœurs dans ses bras.

Liri Albag, otage libérée, courant embrasser ses frères et sœurs, au centre hospitalier Rabin, à Petah Tikva, le 25 janvier 2025. (Crédit : Haïm Zach/GPO)
Entourée de ses parents, l’otage libérée Daniella Gilboa réagissant après avoir vu ses proches, au centre hospitalier Rabin, à Petah Tikva, le 25 janvier 2025. (Crédit : Haïm Zach/GPO)
L’otage libérée Liri Albag serrant ses proches dans ses bras après les avoir retrouvés, au centre hospitalier Rabin, à Petah Tikva, le 25 janvier 2025. (Crédit : Haïm Zach/GPO)

Ben Gvir sur la libération des otages : « Mes yeux pleurent de joie… mais mon cœur est serré »

« Les yeux pleurent de bonheur avec le retour de Daniella, Naama, Karina et Liri », déclare Itamar Ben Gvir, chef du parti Otzma Yehudit, en réponse à la libération des quatre soldates de surveillance après quinze mois de captivité à Gaza.

« Mais le cœur se serre devant les images qui humilient l’État d’Israël, avec cet accord irresponsable », poursuit Ben Gvir, dans une allusion manifeste à la manière dont le groupe terroriste palestinien du Hamas a fait défiler les quatre femmes sur une place de la ville de Gaza avant de les relâcher. Ben Gvir a voté contre l’accord de libération des otages et a quitté le gouvernement après sa conclusion.

« Bienvenue aux rapatriées. Mais si nous ne détruisons pas le Hamas, le prochain 7 octobre est à nos portes. Nous devons reprendre la guerre. Et détruire [le Hamas]. »

Les otages israéliennes Liri Albag, Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy saluant sur une scène avant que des terroristes du Hamas ne les remettent à une équipe de la Croix-Rouge, dans la ville de Gaza, le 25 janvier 2025. (Crédit : AFP)

Smotrich salue chaleureusement la libération des 4 soldates, bien qu’il ait voté contre l’accord

Le ministre des Finances Bezalel Smotrich assistant à une réunion de la commission des Finances, à la Knesset, à Jérusalem, le 13 janvier 2025. (Crédit : Yonatan Sindel/ Flash90)
Le ministre des Finances Bezalel Smotrich assistant à une réunion de la commission des Finances, à la Knesset, à Jérusalem, le 13 janvier 2025. (Crédit : Yonatan Sindel/ Flash90)

Le ministre des Finances, Bezalel Smotrich, salue la libération des quatre soldates de surveillance, déclarant que le pays tout entier était ému par leur retour. Smotrich a voté contre l’accord de libération des otages, mais n’a pas quitté le gouvernement pour autant.

« Karina, Daniella, Naama et Liri, le peuple d’Israël tout entier est ému par votre retour. Nous vous serrons dans nos bras et nous vous aimons »,  déclare Smotrich, qui dirige le parti ultranationaliste HaTzionout HaDatit.

« Nous prions tous ensemble et travaillons ensemble pour le retour de chacun », ajoute-t-il en référence aux 90 otages restants détenus à Gaza.

L’opposition salue la libération des soldates et demande un accord pour libérer tous les otages restants

Le président du parti HaMahane HaMamlahti, Benny Gantz (à droite) et le président du parti Yesh Atid, Yaïr Lapid, tenant une conférence de presse conjointe, à la Knesset, Jérusalem, le 6 novembre 2024. (Crédit : Yonatan Sindel/Flash90)
Le président du parti HaMahane HaMamlahti, Benny Gantz (à droite) et le président du parti Yesh Atid, Yaïr Lapid, tenant une conférence de presse conjointe, à la Knesset, Jérusalem, le 6 novembre 2024. (Crédit : Yonatan Sindel/Flash90)

Le chef de l’opposition, Yaïr Lapid, a déclaré que l’ensemble de l’accord de libération d’otages et de prisonniers palestiniens incarcérés pour atteinte à la sécurité en Israël avec le groupe terroriste palestinien du Hamas devait être mené à bien « dans toutes ses étapes », suite à la libération des soldates Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag de captivité dans la bande de Gaza.

« Il est interdit de s’arrêter tant que l’accord n’a pas été conclu dans son intégralité, à toutes les étapes. Jusqu’à ce que [la femme civile otage] Arbel [Yehud] et tous les otages rentrent chez eux. Tous, jusqu’au dernier », insiste Lapid.

Le chef du parti HaMahane HaMamlahti, Benny Gantz, souhaite la bienvenue aux quatre jeunes femmes, qui ont servi comme soldates de surveillance à la frontière entre Israël et la bande de Gaza, et déplore le fait que les avertissements de ces soldates de surveillance concernant les préparatifs d’assaut du Hamas avant le 7 octobre n’aient pas été pris en compte.

« Les soldates de surveillance de l’avant-poste étaient nos yeux qui voyaient, mais elles n’ont pas trouvé d’oreille attentive », a déclaré Gantz.

« Elles sont l’histoire d’un échec qui doit faire l’objet d’une enquête approfondie. »

Gantz a également salué la force des parents qui, en tant que groupe, se sont « unis dès le premier instant » pour travailler sans relâche à la libération de leurs filles.

« Il est impossible de ne pas verser une larme et de ne pas se réjouir en voyant le bonheur de Shira et Eli, Ayelet et Yoni, Albert et Ira, Orly et Ran », a déclaré Gantz à propos des parents des quatre soldates.

Gantz a déclaré qu’Israël « doit ramener » tous les autres otages qui se trouvent encore à Gaza, mentionnant en particulier Agam Berger, une autre soldate de surveillance, ainsi que Arbel Yehud et Shiri Bibas.

« C’est la responsabilité du gouvernement du 7 octobre, et c’est notre obligation morale à tous. »

Des panneaux d’affichage en Cisjordanie accueillent des résidents d’implantations radicaux, libérés par Katz

Les panneaux d’affichage érigés par les résidents d’implantations dans le nord de la Cisjordanie ont été mis à jour pour accueillir quatre résidents d’implantations radicaux qui ont été libérés ce mois-ci après que le ministre de la Défense Israel Katz a mis fin aux détentions administratives pour tous les suspects juifs.

Les forces de sécurité israéliennes ont eu recours à cette pratique, qui consiste à détenir des suspects sans procédure régulière, contre des individus dont on pense qu’ils représentent une menace pour la sécurité, mais contre lesquels il n’existe pas suffisamment de preuves pour qu’un acte d’accusation tienne la route devant un tribunal.

Plusieurs milliers de Palestiniens et plusieurs dizaines d’Arabes israéliens sont actuellement en détention administrative.

Les seize détenus juifs, largement soupçonnés d’avoir commis des attaques contre des Palestiniens en Cisjordanie, ont tous été libérés, y compris quatre personnes originaires du nord de la Cisjordanie dont les visages sont actuellement affichés sur plusieurs panneaux d’affichage dans le territoire.

De l’autre côté de l’un de ces panneaux, un message en arabe indique « Il n’y a pas d’avenir en Palestine », à côté d’une photo de Palestiniens déplacés fuyant leurs maisons à Gaza. Le message a également été affiché par des résidents d’implantations qui exhortent tous les Palestiniens à émigrer.

La famille de l’otage soldate Agam Berger, toujours détenue à Gaza, remercie le peuple pour son soutien

Des manifestants devant les portraits des otages israéliens Agam Berger (20), Naama Levy (20), et d'autres lors d'une manifestation appelant à la libération des otages enlevés à Gaza par le pogrom perpétré par le Hamas le 7 octobre 2023, devant la résidence du Premier ministre, à Jérusalem, le 24 octobre 2024. (Crédit : Ahmad Gharbli/AFP)
Des manifestants devant les portraits des otages israéliens Agam Berger (20), Naama Levy (20), et d'autres lors d'une manifestation appelant à la libération des otages enlevés à Gaza par le pogrom perpétré par le Hamas le 7 octobre 2023, devant la résidence du Premier ministre, à Jérusalem, le 24 octobre 2024. (Crédit : Ahmad Gharbli/AFP)

La famille d’Agam Berger, une soldate de surveillance enlevée par le groupe terroriste palestinien du Hamas le 7 octobre 2023 et toujours détenue à Gaza, a publié un communiqué pour remercier le peuple de son soutien après la libération de quatre autres soldates de Tsahal plus tôt dans la journée.

« Nous sommes heureux et enthousiastes à l’idée de ramener nos quatre filles à la maison – nous formons tous une grande famille », déclarent-ils dans un communiqué.

« Nous attendons avec impatience d’accueillir Agam, si Dieu le veut, la semaine prochaine. Nous ne nous reposerons pas tant que tous les otages ne seront pas rentrés sains et saufs à la maison. »

L’armée israélienne a déclaré plus tôt dans la journée qu’elle était
« déterminée » à obtenir le retour de la soldate, ainsi que celui des 86 autres otages enlevés par le Hamas le 7 octobre et qui se trouvent toujours dans la bande de Gaza. Ce chiffre inclut les corps d’au moins 34 personnes dont la mort a été confirmée par Tsahal.

Le groupe terroriste palestinien détient également deux civils israéliens entrés dans la bande de Gaza en 2014 et 2015, ainsi que le corps d’un soldat de Tsahal tué en 2014. Le corps d’un autre soldat de Tsahal, également tué en 2014, a récemment été récupéré à Gaza lors d’une opération militaire israélienne secrète.

Les parents de l’ex-otage Liri Albag disent à Netanyahu : « Nous voulons voir tout le monde rentrer ; alors nous serons pleinement heureux »

Les parents de l'ex-otage Liri Albag s'entretenant avec le Premier ministre Benjamin Netanyahu peu après sa libération à Gaza, le 25 janvier 2025. (Crédit : Capture d'écran/Bureau du Premier ministre)
Les parents de l'ex-otage Liri Albag s'entretenant avec le Premier ministre Benjamin Netanyahu peu après sa libération à Gaza, le 25 janvier 2025. (Crédit : Capture d'écran/Bureau du Premier ministre)

Les parents de l’otage libérée Liri Albag indiquent au Premier ministre Benjamin Netanyahu qu’ils ne seront pleinement satisfaits que lorsque tous les captifs seront rentrés.

« Nous avons 90 autres otages et je suis sûr que vous ferez tout et que vous faites tout pour les ramener tous à la maison », a déclaré le père de Liri, Eli, à Netanyahu dans un enregistrement de l’appel publié par le bureau du Premier ministre.

Shira, la mère de Liri, déclare que « tout le monde mérite de recevoir ce que nous avons reçu aujourd’hui, cette joie. Je ne peux pas décrire la joie que nous avons dans nos cœurs ».

Shira ajoute que sa fille et les trois autres otages libérées sont « fortes, ce sont des championnes, elles sont une source de fierté pour l’État d’Israël, après tout ce qu’elles ont traversé, ce sont des héroïnes. Tout le monde mérite que tout le monde rentre à la maison. Nous voulons que tout le monde rentre à la maison, alors nous serons heureux de tout notre cœur ».

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu faisant une déclaration peu après la libération de quatre soldates de retenues en otage par le Hamas à Gaza depuis 477 jours, le 25 janvier 2025. (Crédit : Capture d’écran/Bureau du Premier ministre)

Netanyahu dit au couple qu’il n’a jamais eu « le moindre doute » sur le fait que Liri reviendrait à la maison.

« Je vous ai dit qu’elle reviendrait, je vous l’ai promis, je n’ai jamais douté que nous réussirions », a déclaré Netanyahu.

« C’est un grand jour. »

Le Premier ministre déclare que son épouse Sara et lui sont « heureux de voir que [Liri] est forte et impressionnante après tout ce qu’elle a traversé […] Nous travaillons à la libération de tous les autres, mais c’est vraiment un moment très joyeux ».

Israël demande à l’administration Trump d’exiger que le Qatar et l’Égypte poussent le Hamas à libérer l’otage Arbel Yehud

Israël a demandé à l’administration de Donald Trump d’exiger que le Qatar et l’Egypte fassent pression sur le groupe terroriste palestinien du Hamas pour qu’il libère Arbel Yehud, la femme otage civile dont il avait exigé qu’elle fasse partie des personnes libérées aujourd’hui, rapporte le site d’information Walla, citant un responsable israélien.

Israël affirme qu’Arbel aurait dû être libérée aujourd’hui et que le fait que le Hamas ne l’ait pas fait constitue une violation de l’accord de cessez-le-feu. Diverses raisons techniques ont été invoquées pour expliquer pourquoi Arbel n’a pas été libérée, mais un responsable du Hamas a déclaré à Reuters qu’elle serait libérée le week-end prochain.

Israël souhaite qu’elle soit libérée plus tôt et a transmis cette demande à l’envoyé du président américain Donald Trump au Proche-Orient, Steve Witkoff, rapporte Walla.

« Jusqu’à présent, nous n’avons reçu aucune réponse », indique le responsable israélien à Walla.

Washington va poursuivre ses efforts avec Israël pour la « libération de tous les otages restants » – Maison Blanche

Les Etats-Unis vont poursuivre leurs efforts avec Israël pour la « libération de tous les otages restants », a annoncé la Maison Blanche, saluant la libération de quatre nouvelles otages israéliennes enlevées et détenues dans la bande de Gaza par le groupe terroriste palestinien du Hamas.

« Les Etats-Unis vont continuer avec leur grand partenaire Israël à oeuvrer à la libération de tous les otages restants et à la recherche de la paix dans toute la région », selon un communiqué de la Maison Blanche.

Maison Blanche : « Aujourd’hui, le monde célèbre le fait que le président Trump a obtenu la libération de quatre nouvelles otages israéliennes »

Le président américain Donald Trump s'exprimant dans la salle Roosevelt de la Maison Blanche, à Washington, le 21 janvier 2025. (Crédit : Jim Watson/AFP)
Le président américain Donald Trump s'exprimant dans la salle Roosevelt de la Maison Blanche, à Washington, le 21 janvier 2025. (Crédit : Jim Watson/AFP)

« Aujourd’hui, le monde entier se réjouit que le président [Donald] Trump ait obtenu la libération de quatre nouvelles otages israéliennes qui étaient, depuis bien trop longtemps, retenus contre leur gré par le [groupe terroriste palestinien du] Hamas dans des conditions horribles », déclare la Maison Blanche dans un communiqué.

« Les États-Unis continueront, avec leur grand partenaire Israël, à faire pression pour la libération de tous les otages restants et la poursuite de la paix dans toute la région », ajoute le communiqué.

Un mort et plusieurs blessés lors de l’ouverture du feu de Tsahal sur des Gazaouis approchant du corridor Netzarim – médias palestiniens

Les médias palestiniens font état d’un mort et de plusieurs blessés après que les troupes de l’armée israélienne ont ouvert le feu sur des Gazaouis qui s’approchaient de la zone du corridor de Netzarim.

Une personne a été tuée et plusieurs ont été blessées par des tirs israéliens sur la route de Salah a-Din, et environ deux douzaines d’autres ont été blessées sur la route côtière, selon les médias.

Tsahal n’a pas encore commenté ces informations.

En vertu de l’accord, Israël devait se retirer demain d’une partie du corridor de Netzarim et permettre aux Palestiniens de retourner dans le nord de la bande de Gaza par la route côtière. Le 22ᵉ jour de l’accord, les Palestiniens doivent être autorisés à revenir via Salah a-Din.

Israël a déclaré qu’il n’autoriserait pas les habitants de Gaza à se rendre dans le nord de la bande de Gaza tant que le Hamas n’aurait pas « organisé » la libération de la civile Arbel Yehud, qui devait être libérée aujourd’hui selon les termes de l’accord.

L’otage israélo-américain Keith Siegel devrait être libéré lors de la prochaine libération de Gaza – média

Keith Siegel, pris en otage par des terroristes du Hamas dans sa maison du kibboutz Kfar Aza le 7 octobre 2023.(Crédit : Autorisation)
Keith Siegel, pris en otage par des terroristes du Hamas dans sa maison du kibboutz Kfar Aza le 7 octobre 2023.(Crédit : Autorisation)

Selon un reportage américain, un Américain-Israélien enlevé chez lui par le groupe terroriste palestinien du Hamas dans le kibboutz Kfar Aza le 7 octobre 2023 devrait être libéré de sa captivité à Gaza la semaine prochaine. Il s’agit de la troisième libération d’otages dans le cadre d’un accord de cessez-le-feu avec le Hamas.

La chaîne NBC cite deux hauts fonctionnaires américains qui confirment des informations antérieures selon lesquelles Keith Siegel, 65 ans, dont la santé est jugée précaire, sera l’un des trois otages dont la libération est prévue samedi prochain.

Cette information fait écho aux déclarations publiques de Joe Biden et de Donald Trump au début du mois.

La chaîne N12 a rapporté hier qu’Emily Damari, qui a été libérée des geôles du Hamas dimanche lorsque le cessez-le-feu est entré en vigueur, avait demandé à ses ravisseurs de libérer d’abord Keith, qui est le père de son amie proche Shir Siegel.

Israël s’attend à ce qu’une civile, Arbel Yehud, 29 ans, et une soldate de Tsahal, Agam Berger, 20 ans, également détenues à Gaza depuis le 7 octobre, fassent partie du prochain groupe d’otages libérés.

NBC rapporte que Sagui Dekel-Chen, 36 ans, un autre citoyen israélo-américain enlevé par le Hamas, sera libéré peu après Keith.

Sagui Dekel-Chen, résident du kibboutz Nir Oz, a été capturé par des terroristes du Hamas le 7 octobre 2023. (Crédit : Autorisation)

Keith et Sagui figurent tous deux sur la liste des 33 otages israéliens qui devraient être libérés au cours de la première phase de 42 jours de l’accord de cessez-le-feu à Gaza, et qui sont tous des cas dits « humanitaires » : femmes, enfants, personnes âgées et blessés ou malades.

Le troisième otage israélo-américain, Edan Alexander, ne devrait pas être libéré avant la deuxième phase, car il est soldat.

Israël estime que 87 des 251 otages enlevés le 7 octobre se trouvent toujours à Gaza, y compris les corps d’au moins 34 personnes dont la mort a été confirmée par l’armée israélienne.

Hamas : Israël « retarde la mise en œuvre » de l’accord en n’autorisant pas les Palestiniens à retourner dans le nord de Gaza

Le groupe terroriste palestinien du Hamas a déclaré dans un communiqué officiel qu’Israël « retarde toujours la mise en œuvre des termes du cessez-le-feu » et de l’accord sur les otages en n’autorisant pas les Palestiniens déplacés à retourner dans le nord de la bande de Gaza.

« Nous tenons l’occupation [Israël] pour responsable de toute perturbation dans la mise en œuvre de l’accord et de ses répercussions sur le reste des stations [de l’accord] », ajoute le Hamas.

En vertu de l’accord, Israël devait se retirer demain d’une partie du corridor de Netzarim et permettre aux Palestiniens de retourner dans le nord de la bande de Gaza en empruntant la route côtière.

Israël a déclaré qu’il n’autoriserait pas les habitants de Gaza à se rendre dans le nord de la bande de Gaza tant que le Hamas n’aurait pas « arrangé » la libération de la civile Arbel Yehud, qui devait être libérée aujourd’hui.

Arbel Yehud. (Crédit : Autorisation)

Défilés en Cisjordanie, chants à Gaza, drapeaux du Hamas à Jérusalem-Est : Les Palestiniens fêtent la libération des terroristes

Des prisonniers palestiniens libérés dans le cadre d'un accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas accueillis par une foule après leur libération, à Ramallah, le 25 janvier 2025. (Crédit : Mahmoud Illean/AP)
Des prisonniers palestiniens libérés dans le cadre d'un accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas accueillis par une foule après leur libération, à Ramallah, le 25 janvier 2025. (Crédit : Mahmoud Illean/AP)

Les Palestiniens de Jérusalem-Est, de Cisjordanie et de la bande de Gaza célèbrent la libération et l’arrivée des prisonniers de sécurité palestiniens, dont beaucoup étaient emprisonnés pour terrorisme, qui ont été libérés plus tôt aujourd’hui dans le cadre de la première phase d’un cessez-le-feu et de libération d’otages entre Israël et le groupe terroriste palestinien du Hamas.

Une vidéo publiée sur les réseaux sociaux montre une célébration dans la ville de Ramallah, en Cisjordanie, où l’on voit Mohammed al-Arida, terroriste du Jihad islamique palestinien, porté sur les épaules d’hommes dans la foule.

Arida est l’un des 200 prisonniers palestiniens incarcérés pour atteinte à la sécurité en Israël, dont des dizaines de personnes condamnées à la perpétuité pour meurtre et terrorisme, qui ont été libérés aujourd’hui en échange de quatre soldates de l’armée israélienne enlevées et détenues par des terroristes à Gaza depuis le 7 octobre 2023.

Selon les médias israéliens, l’Autorité palestinienne (AP) est jusqu’à présent parvenue à empêcher la violence et le soutien aux groupes terroristes lors des célébrations en Cisjordanie. Des drapeaux nationaux palestiniens et des drapeaux de la faction du Fatah qui domine l’AP sont visibles sur des photos et des vidéos de Cisjordanie.

Toutefois, dans le village d’Aqab, à Jérusalem-Est, des drapeaux du Hamas ont été vus lors d’une procession de célébration.

Avant l’entrée en vigueur de l’accord de cessez-le-feu et de libération d’otages dimanche, le ministre de la Défense, Israel Katz, avait demandé à Tsahal d’empêcher les célébrations et les défilés de Palestiniens lors de la libération de prisonniers de sécurité.

La chaîne N12 rapporte que les prisonniers libérés à Gaza sont accueillis par des chants « Nous sommes le peuple de Muhammad Deif », en référence au chef de la branche armée du Hamas, tué lors d’une frappe aérienne israélienne dans la bande de Gaza en juillet.

Sofia salue avec un « grand soulagement » la libération d’une otage israélo-bulgare à Gaza

Les otages israéliennes Liri Albag, Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy sur une scène avant que des terroristes du Hamas ne les remettent à une équipe de la Croix-Rouge, dans la ville de Gaza, le 25 janvier 2025. (Crédit : Abed Hajjar/AP)
Les otages israéliennes Liri Albag, Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy sur une scène avant que des terroristes du Hamas ne les remettent à une équipe de la Croix-Rouge, dans la ville de Gaza, le 25 janvier 2025. (Crédit : Abed Hajjar/AP)

La Bulgarie a salué avec un « grand soulagement » et « une grande joie » samedi la libération de l’otage israélo-bulgare Daniella Gilboa, soulignant avoir participé aux « efforts diplomatiques intensifs ».

« C’est avec un grand soulagement et une grande joie que la Bulgarie salue la libération de la ressortissante bulgare Daniella Gilboa », captive dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023.

« Cette évolution positive est le résultat d’efforts diplomatiques intensifs auxquels la Bulgarie a activement participé », a indiqué le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué.

Le père de la soldate de 20 ans est d’origine bulgare, et l’ancien Premier ministre Nikolaï Denkov a déclaré samedi à la chaîne de télévision Nova que la nationalité bulgare avait été octroyée à quelques otages, dont Daniella, pour aider à leur libération.

La Bulgarie a remercié le Qatar, l’Égypte et les Etats-Unis pour leur aide au respect de l’accord de cessez-le-feu dans la bande de Gaza et à la libération des otages, a déclaré le ministère des Affaires étrangères, ajoutant espérer la libération des autres otages.

Des internautes se moquent de Silman qui a publié un message pour saluer la libération des otages pendant Shabbat

La ministre de l’Environnement, Idit Silman, lors de la conférence annuelle de Jérusalem, le 26 février 2024. (Crédit : Yonatan Sindel/Flash90)
La ministre de l’Environnement, Idit Silman, lors de la conférence annuelle de Jérusalem, le 26 février 2024. (Crédit : Yonatan Sindel/Flash90)

Une députée orthodoxe du Likud qui a contribué à l’effondrement du gouvernement précédent en protestant contre la loi autorisant le hametz – pain levé – dans les hôpitaux pendant Pessah est raillée par ses détracteurs pour avoir publié une story Instagram pendant Shabbat accueillant les quatre otages israéliennes libérées des geôles du groupe terroriste palestinien du Hamas.

« Le hametz est interdit, mais les stories sont autorisées le jour de Shabbat », a écrit un utilisateur sur le réseau social X à propos de la ministre de l’Environnement, Idit Silman.

« Qu’est-ce qu’Idit Silman aime le plus ? LES RELATIONS PUBLIQUES ? Ou le respect du Shabbat ? », a écrit un autre internaute.

Vidéo de propagande du Hamas : Les soldates libérées remercient le groupe terroriste en arabe lors de leur libération

Les otages Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag, dans une vidéo de propagande du Hamas lors de leur libération, le 25 janvier 2025. (Crédit : Capture d'écran/Telegram)
Les otages Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag, dans une vidéo de propagande du Hamas lors de leur libération, le 25 janvier 2025. (Crédit : Capture d'écran/Telegram)

Le groupe terroriste palestinien du Hamas publie une vidéo de propagande montrant la libération des otages Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag plus tôt dans la journée.

Le Hamas a remis à chacune des otages un « formulaire de libération de prisonnier », ainsi qu’un certificat encadré et un porte-clés arborant le drapeau palestinien, selon la vidéo.

Les otages ont également été contraintes de porter des badges avec leurs coordonnées personnelles, attachés à un cordon avec un motif de drapeau palestinien.

On voit les quatre jeunes femmes remercier le Hamas en arabe avant d’être emmenées sur la place bondée de la ville de Gaza, où elles ont été remises à la Croix-Rouge.

Sur une scène de la place, on voit un représentant de la Croix-Rouge signer un document, avant que les femmes ne défilent sur la scène.

Les quatre otages sont ensuite emmenées dans des véhicules de la Croix-Rouge et conduites hors de la place, comme le montre la vidéo.

Une des otages libérées remercie les Israéliens pour leur soutien – vidéo de Tsahal

Liri Albag, soldate israélienne captive à Gaza libérée samedi, a remercié les Israéliens pour leur soutien aux familles d’otages, dans une vidéo diffusée par l’armée israélienne.

« Je vous aime, vous tous citoyens de l’État d’Israël qui avez soutenu nos familles et les avez confortées, et vous soldats de Tsahal qui avez tout fait pour nous. Merci beaucoup, je vous aime tous », a lancé la jeune femme en dessinant un cœur avec ses mains après avoir retrouvé ses parents dans une installation spéciale de l’armée.

Une délégation thaïlandaise s’entretient avec Gal Hirsch

Des ressortissants thaïlandais libérés de la captivité à Gaza s'embrassant dans un hôpital en Israël, sur une photo publiée par le gouvernement thaïlandais le 27 novembre 2023. (Crédit : Autorisation)
Des ressortissants thaïlandais libérés de la captivité à Gaza s'embrassant dans un hôpital en Israël, sur une photo publiée par le gouvernement thaïlandais le 27 novembre 2023. (Crédit : Autorisation)

Une délégation de représentants du gouvernement thaïlandais a rencontré aujourd’hui l’envoyé spécial pour les otages, Gal Hirsch, alors qu’Israël s’attend à ce que dix ressortissants étrangers pris en otage à Gaza lors du pogrom perpétré par le groupe terroriste palestinien du Hamas le 7 octobre 2023 soient libérés dans les jours à venir, rapporte Haaretz.

Huit de ces dix otages sont des ressortissants thaïlandais.

Israël pense que les dix otages seront libérés séparément, mais parallèlement aux quatre otages israéliennes qui ont été libérées plus tôt dans la journée, rapporte Haaretz.

La rencontre de Hirsch avec la délégation thaïlandaise a eu lieu dans le kibboutz de Reïm, dans le sud du pays.

Deux prisonniers de sécurité palestiniens dont la libération est prévue par l’accord ont refusé de monter à bord d’un bus à destination de Gaza – média

Les forces de sécurité israéliennes montant la garde alors que les bus transportant les prisonniers palestiniens libérés dans le cadre de l'accord de cessez-le-feu avec le groupe terroriste palestinien du Hamas quittent la prison de Ketziot, dans le désert du Néguev, le 25 janvier 2025. (Crédit : Gil Magen-Cohen/AFP)
Les forces de sécurité israéliennes montant la garde alors que les bus transportant les prisonniers palestiniens libérés dans le cadre de l'accord de cessez-le-feu avec le groupe terroriste palestinien du Hamas quittent la prison de Ketziot, dans le désert du Néguev, le 25 janvier 2025. (Crédit : Gil Magen-Cohen/AFP)

Lors de la libération des prisonniers palestiniens incarcérés pour atteinte à la sécurité en Israël, deux d’entre eux ont refusé de monter dans le bus qui les emmenait de la prison de Ketziot à Gaza, rapporte la chaîne publique Kann.

L’un des détenus a finalement accepté de monter à bord, tandis que l’autre a refusé et a dû être échangé avec un autre prisonnier, indique Kann.

Tsahal : 3 soldats blessés, dont un grièvement, lors d’une opération antiterroriste à Jénine

Un soldat du commando Egoz a été grièvement blessé aujourd’hui au cours d’une opération antiterroriste dans la région de Jénine, dans le nord de la Cisjordanie, indiqueé l’armée israélienne.

Tsahal précise que deux autres soldats de l’unité Egoz ont été modérément et légèrement blessés au cours du même incident.

Le député Likud David Bitan hospitalisé pour des examens neurologiques – médias

Le député David Bitan présidant une réunion de la commission des Affaires économiques, à la Knesset, le 15 janvier 2024. (Crédit : Noam Moskowitz/Bureau du porte-parole de la Knesset)
Le député David Bitan présidant une réunion de la commission des Affaires économiques, à la Knesset, le 15 janvier 2024. (Crédit : Noam Moskowitz/Bureau du porte-parole de la Knesset)

Le député David Bitan (Likud) a été hospitalisé en soins intensifs neurologiques à l’hôpital Sheba, près de Tel Aviv, selon les médias israéliens.

Bitan, qui préside la commission des Affaires de la Knesset, se sentait mal depuis quelques jours avant d’être admis, selon les médias.

Il serait conscient et subirait une série d’examens.

Le week-end d’échanges otages contre prisonniers est terminé, dit le Qatar sans citer les violations du Hamas

Le Qatar a annoncé que le deuxième week-end d’échanges d’otages contre des prisonniers palestiniens s’était achevé avec succès.

« Dans le cadre du deuxième échange depuis le début du cessez-le-feu, les médiateurs annoncent que quatre femmes otages israéliennes – dont l’une possède la nationalité bulgare – ont été remises à la partie israélienne en échange de la libération de 200 Palestiniens qui étaient incarcérés dans des prisons israéliennes », a écrit sur X le porte-parole du ministère des Affaires étrangères du Qatar, Majed al-Ansari.

Il n’a pas mentionné le refus du Hamas de remettre en liberté Arbel Yahud, une civile détenue en captivité, et le refus conséquent d’Israël d’autoriser les Palestiniens à retourner dans le nord de la bande de Gaza, deux événements qui devaient avoir lieu aujourd’hui conformément aux dispositions de l’accord de cessez-le-feu.

Le Hamas est également censé fournir à Israël des informations sur les 27 otages restants dans la journée de samedi.

À VOIR : Les otages libérées retrouvent leurs parents après 477 jours de captivité

Les otages libérées retrouvent leurs parents après avoir été relâchées par le Hamas : en haut, de gauche à droite, Karina Ariev, Liri Albag ; en bas, de gauche à droite, Naama Levy, Daniella Gilboa, le 25 janvier 2025. (Crédit : Armée israélienne)
Les otages libérées retrouvent leurs parents après avoir été relâchées par le Hamas : en haut, de gauche à droite, Karina Ariev, Liri Albag ; en bas, de gauche à droite, Naama Levy, Daniella Gilboa, le 25 janvier 2025. (Crédit : Armée israélienne)

Tsahal a diffusé des vidéos montrant les quatre soldates qui ont été libérées par le Hamas après 477 jours de captivité.

Dans ces séquences, Karina Ariev, 20 ans, Daniella Gilboa, 20 ans, Naama Levy, 20 ans, et Liri Albag, 19 ans, retrouvent leurs parents dans une structure militaire installée aux abords de la bande de Gaza.

Elles ont été relâchées après une longue période passée dans les geôles du Hamas et dans le cadre de la première phase d’un accord de cessez-le-feu conclu avec le groupe terroriste palestinien.

Des vidéos montrant des soldates otages libérées, Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag, retrouvant leurs parents dans une installation de l’armée israélienne près de la frontière de Gaza, après 477 jours de captivité dans les geôles du Hamas.

Sur les images, Karina se précipite dans les bras de ses parents, tandis que sa mère lui dit : « Tu es revenue, notre chérie, tu es revenue ».

Une autre séquence la montre lors d’un appel vidéo avec d’autres membres de sa famille.

Daniella, qui s’est douchée et qui a enlevé les faux uniformes de Tsahal dans lesquels le groupe terroriste palestinien du Hamas avait habillé les otages en vue de leur libération, pousse des cris de joie en courant pour, elle aussi, serrer sa mère et son père dans ses bras.

« Maman, tu es une lionne », dit-elle à sa mère en larmes.

Des otages libérés précédemment avaient déclaré avoir vu des images de leurs familles manifestant pour leur libération pendant leur captivité à Gaza.

La mère de Naama, la docteure Ayelet Levy Shachar, qui avait également lutté en faveur de la libération de sa fille au cours des quinze derniers mois, jette son sac sur le côté alors que sa fille court dans le couloir de l’établissement vers ses parents.

Le père de la jeune soldate dit doucement à l’oreille de cette dernière : « Je prendrai soin de toi, tout ira bien », la serrant dans ses bras.

Liri fait un cœur en direction de la caméra, avec ses mains, alors qu’elle est conduite par des officiers à travers l’installation militaire pour retrouver ses parents.

Son père s’écrie joyeusement « Liri, bébé ! », alors que la jeune fille de 19 ans saute dans les bras de ses deux parents.

« C’est ça, tu es à la maison, tu es à la maison », dit la mère de Liri pour réconforter sa fille qui sanglote.

« Je vous aime, tous les citoyens d’Israël qui ont soutenu nos familles et Tsahal qui a tout fait pour nous », dit Liri à la caméra.

Cisjordanie: Le village de Tuba attaqué par des résidents d’implantation, dit un groupe de défense des droits

Des résidents d’implantation ont fait irruption dans le village palestinien de Tuba, dans le sud de la Cisjordanie, incendiant une habitation et un véhicule qui appartenaient à des résidents, selon le groupe d’activistes israéliens Beyond the Herd.

Des informations qui sont rendues publiques quelques heures après que quatre soldates de Tsahal, qui avaient été enlevées le 7 octobre 2023, ont été libérées par le Hamas dans le cadre d’un accord de cessez-le feu conclu entre Israël et le groupe terroriste – un accord qui a ouvert la porte à la remise en liberté des otages.

En échange, Israël devrait libérer dans la journée 200 prisonniers de sécurité palestiniens, dont des dizaines de personnes condamnées à perpétuité pour meurtre et pour des activités terroristes.

Les ex-otages sont dans une situation « émotionnellement et médicalement complexe » – hôpital

Les otages israéliennes Liri Albag, Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy saluant sur une scène avant que des terroristes du Hamas ne les remettent à une équipe de la Croix-Rouge, dans la ville de Gaza, le 25 janvier 2025. (Crédit : AFP)
Les otages israéliennes Liri Albag, Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy saluant sur une scène avant que des terroristes du Hamas ne les remettent à une équipe de la Croix-Rouge, dans la ville de Gaza, le 25 janvier 2025. (Crédit : AFP)

La Dr. Hagar Mizrahi, représentante du ministère de la Santé, a déclaré que les quatre otages récemment libérées se trouvaient dans une situation
« émotionnellement et médicalement complexe ».

S’exprimant au centre hospitalier Rabin, où les quatre jeunes femmes sont arrivées il y a peu, Dr. Mizrahi a déclaré que c’était un honneur de leur fournir un traitement.

Les femmes recevront un large éventail de thérapies, conçues pour répondre à leurs besoins physiques et émotionnels, a déclaré Dr. Mizrahi, cheffe de la division de la médecine générale au ministère de la Santé.

« Aujourd’hui, nous avons rencontré Karina, Daniella, Naama et Liri après 477 jours de captivité dans les geôles du Hamas. »

« Il s’agit d’un événement complexe sur le plan émotionnel et médical pour les otages, pour leurs familles, pour les familles de tous les otages et pour l’ensemble du peuple israélien », a-t-elle ajouté.

L’Administration pénitentiaire israélienne annonce la libération de 200 prisonniers palestiniens ; la foule se réjouit à Ramallah

Des bus transportant des prisonniers palestiniens quittant la prison de Ketziot, dans le Néguev, le 25 janvier 2025. (Crédit : Gil Cohen-Magen/AFP)
Des bus transportant des prisonniers palestiniens quittant la prison de Ketziot, dans le Néguev, le 25 janvier 2025. (Crédit : Gil Cohen-Magen/AFP)

L’Administration pénitentiaire israélienne (IPS) confirme avoir libéré 200 détenus palestiniens incarcérés pour atteinte à la sécurité en Israël en échange de la libération, dans la matinée, de quatre soldates israéliennes enlevées et détenues par le groupe terroriste palestinien du Hamas à Gaza depuis le 7 octobre 2023.

Avec « l’aval des autorités politiques, tous les terroristes ont été libérés, à partir des prisons d’Ofer [en Cisjordanie] et de Ktziot », dans le sud d’Israël, écrit l’IPS dans un communiqué, confirmant le nombre, annoncé plus tôt de sources palestiniennes, de détenus libérés dans le cadre de cet échange.

Des foules de Palestiniens ont manifesté leur joie en accueillant des dizaines de prisonniers arrivés en bus à Ramallah.

Descendus du bus en survêtement gris, de nombreux prisonniers ont été hissés sur les épaules des personnes qui attendaient, tandis que d’autres marchaient à travers la foule.

Le Hamas a déclaré plus tôt que 70 des prisonniers libérés seraient expulsés – Israël a déclaré que les prisonniers palestiniens qui ont été condamnés pour avoir tué des Israéliens devraient être expulsés de façon permanente s’ils sont libérés dans le cadre de l’accord de libération d’otages et de cessez-le-feu, et qu’ils ne seraient pas autorisés à retourner chez eux en Cisjordanie ou dans la bande de Gaza.

La télévision d’État égyptienne a déclaré il y a deux heures que 70 prisonniers palestiniens avaient été libérés par Israël en Égypte.

L’ex-otage Liri Albag forme un cœur avec ses mains depuis le hublot de hélicoptère, sous les acclamations de la foule

Liri Albag, otage récemment libérée, formant un cœur avec ses mains, depuis la fenêtre d'un hélicoptère militaire qui s'apprête à atterrir au centre hospitalier Rabin à Petah Tikva, le 25 janvier 2025. (Crédit : Jack Guez/AFP)
Liri Albag, otage récemment libérée, formant un cœur avec ses mains, depuis la fenêtre d'un hélicoptère militaire qui s'apprête à atterrir au centre hospitalier Rabin à Petah Tikva, le 25 janvier 2025. (Crédit : Jack Guez/AFP)

Liri Albag fait un signe du cœur avec ses mains depuis la fenêtre de l’hélicoptère qui l’a transporte, ainsi que les trois autres otages récemment libérés des geôles du groupe terroriste palestinien du Hamas, vers un hôpital du centre d’Israël.

Une foule nombreuse s’est rassemblée pour accueillir les quatre jeunes femmes qui arrivent au centre hospitalier Rabin pour y être examinées après 477 jours de détention par le Hamas à Gaza.

L’hélicoptère transportant les quatre ex-otages atterrit à l’hôpital dans le centre d’Israël, sous les acclamations de la foule

L'hélicoptère militaire israélien transportant quatre otages libérées arrivant au centre hospitalier Rabin à Petah Tikva, le 25 janvier 2025. (Crédit : Maya Alleruzzo/AP)
L'hélicoptère militaire israélien transportant quatre otages libérées arrivant au centre hospitalier Rabin à Petah Tikva, le 25 janvier 2025. (Crédit : Maya Alleruzzo/AP)

Une foule acclame Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag à leur arrivée en hélicoptère au centre hospitalier Rabin.

Le ministère de la Santé indique que les jeunes femmes recevront « des soins médicaux complets, y compris un soutien psychologique et la prise en charge de tout besoin supplémentaire ».

Les otages tout juste libérées devraient rester à l’hôpital de Petah Tikva pendant plusieurs jours.

Liri fait un signe du cœur avec ses mains à travers un hublot de l’hélicoptère peu après l’atterrissage.

La famille d’Arbel Yehud, une civile qui n’a pas été libérée, se réjouit du retour des otages et attend avec impatience le retour de la jeune femme

La maison d'Ariel Cunio et d'Arbel Yehud, otages emmenés à Gaza par les terroristes lors du pogrom perpétré par le Hamas du 7 octobre 2023, vide après près de quinze mois de guerre dans le kibboutz Nir Oz, dans le sud d'Israël, le 5 décembre 2024. (Crédit : Ohad Zwigenberg/AP)
La maison d'Ariel Cunio et d'Arbel Yehud, otages emmenés à Gaza par les terroristes lors du pogrom perpétré par le Hamas du 7 octobre 2023, vide après près de quinze mois de guerre dans le kibboutz Nir Oz, dans le sud d'Israël, le 5 décembre 2024. (Crédit : Ohad Zwigenberg/AP)

La famille de l’otage civile Arbel Yehud s’est réjouie du retour des quatre otages ce matin, et dit attendre avec impatience son retour.

« Nos cœurs sont remplis de joie par le retour de Karina, Daniella, Naama et Liri », déclare la famille Yehud, faisant référence aux quatre soldates libérées par le groupe terroriste palestinien du Hamas ce matin.

« Nous attendons avec impatience le moment où nous pourrons serrer notre Arbel dans nos bras le plus tôt possible », ajoute la famille.

Arbel, 29 ans, a été prise en otage avec son petit ami, Ariel Cunio, dans leur maison du kibboutz Nir Oz le 7 octobre 2023. Son frère, Dolev Yehud, a été tué le 7 octobre au kibboutz et on pensait qu’il était également retenu en otage jusqu’à ce que ses restes soient identifiés en juin.

Arbel Yehud a été enlevée par le Hamas et prise en otage au kibboutz Nir Oz, le 7 octobre. (Crédit : Autorisation)

Israël a déclaré que le Hamas avait violé l’accord de cessez-le-feu en libérant des soldates avant Arbel.

Les terroristes détiennent également Shiri Bibas et ses jeunes enfants Kfir et Ariel. L’armée israélienne a déclaré aujourd’hui qu’elle avait de « graves inquiétudes » concernant cette famille.

Chef de Tsahal : Le retour des soldates « fait partie intégrante de notre victoire dans la guerre »

Le chef d'état-major de l'armée israélienne, le général Herzl Halevi (au centre), dans un centre de commandement pour la libération des otages détenus par le Hamas, le 25 janvier 2025, aux côtés du chef du Mossad, David Barnea (à gauche), du chef du Shin Bet, Ronen Bar (2ᵉ à partir de la gauche), du responsable des otages, le général de division (Rés.) Nitzan Alon (2ᵉ à partir de la droite), et du général de division (Rés.) Yoav Mordechaï (à droite) ; le chef du Directorat des Renseignements militaires, le général de division Shlomi Binder, et le secrétaire militaire du Premier ministre Benjamin Netanyahu, le général de division Roman Gofman, sont également présents dans la salle. (Crédit : Armée israélienne)
Le chef d'état-major de l'armée israélienne, le général Herzl Halevi (au centre), dans un centre de commandement pour la libération des otages détenus par le Hamas, le 25 janvier 2025, aux côtés du chef du Mossad, David Barnea (à gauche), du chef du Shin Bet, Ronen Bar (2ᵉ à partir de la gauche), du responsable des otages, le général de division (Rés.) Nitzan Alon (2ᵉ à partir de la droite), et du général de division (Rés.) Yoav Mordechaï (à droite) ; le chef du Directorat des Renseignements militaires, le général de division Shlomi Binder, et le secrétaire militaire du Premier ministre Benjamin Netanyahu, le général de division Roman Gofman, sont également présents dans la salle. (Crédit : Armée israélienne)

Le chef d’état-major de l’armée israélienne, le lieutenant-général Herzl Halevi, a déclaré que le retour des soldates otages Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag fait « partie intégrante de notre victoire dans la guerre ».

« Nous sommes déterminés à ramener tous les otages, civils et soldats »,  déclare Halevi dans un centre de commandement lors de la libération des quatre otages.

Les premières photos des larmes et des embrassades de Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag réunies avec leurs parents

Des otages libérées retrouvant leurs parents après avoir été libérése de la captivité du Hamas ; en haut (de gauche à droite) Karina Ariev, Liri Albag ; en bas (de gauche à droite) Naama Levy, Daniella Gilboa, 25 janvier 2025. (Crédit : Armée israélienne)
Des otages libérées retrouvant leurs parents après avoir été libérése de la captivité du Hamas ; en haut (de gauche à droite) Karina Ariev, Liri Albag ; en bas (de gauche à droite) Naama Levy, Daniella Gilboa, 25 janvier 2025. (Crédit : Armée israélienne)

Des photos montrent les étreintes pleines de larmes des quatre otages libérées des geôles du groupe terroriste palestinien du Hamas qui retrouvent leurs parents sur une base militaire près de Reïm.

Les quatre otages, les soldates Karina Ariev, 20 ans, Daniella Gilboa, 20 ans, Naama Levy, 20 ans, et Liri Albag, 19 ans, ont été libérées par le Hamas ce matin après avoir été enlevées de la base de Nahal Oz le 7 octobre 2023 – il y a 477 jours.

Les quatre jeunes femmes ont été accueillies par leurs parents après avoir franchi la frontière et être rentrées en Israël ce matin.

L’otage libérée Liri Albag, avec ses parents après avoir été libérée de la captivité du Hamas, le 25 janvier 2025. (Crédit : Armée israélienne)
L’otage libérée Liri Albag, avec ses parents après avoir été libérée de la captivité du Hamas, le 25 janvier 2025. (Crédit : Armée israélienne)
L’otage libérée Karina Ariev, avec ses parents après avoir été libérée de la captivité du Hamas, le 25 janvier 2025. (Crédit : Armée israélienne)
L’otage libérée Karina Ariev, avec ses parents après avoir été libérée de la captivité du Hamas le 25 janvier 2025. (Crédit : Armée israélienne)
L’otage libérée Daniella Gilboa, avec ses parents après avoir été libérée de la captivité du Hamas, le 25 janvier 2025. (Crédit : Armée israélienne)
L’otage libérée Daniella Gilboa, avec ses parents après avoir été libérée de la captivité du Hamas, le 25 janvier 2025. (Crédit : Armée israélienne)
L’otage libérée Naama Levy, avec ses parents après avoir été libérée de la captivité du Hamas, le 25 janvier 2025. (Crédit : Armée israélienne)
Naama Levy, avec sa mère après avoir été libérée de la captivité du Hamas, le 25 janvier 2025. (Crédit : Armée israélienne)

L’ex-otage Liri Albag dans l’hélicoptère : « Je vous aime, citoyens d’Israël, je suis de retour ! »

L'otage libérée des geôles du Hamas Liri Albag et ses parents Eli et Shira, à bord d'un hélicoptère militaire, le 25 janvier 2025. (Crédit : Autorisation)
L'otage libérée des geôles du Hamas Liri Albag et ses parents Eli et Shira, à bord d'un hélicoptère militaire, le 25 janvier 2025. (Crédit : Autorisation)

L’otage libérée Liri Albag s’est prise en selfie avec ses parents à bord d’un hélicoptère de l’armée de l’air israélienne, avant d’arriver à l’hôpital.

« Je vous aime, citoyens d’Israël, soldats de Tsahal. Et ma famille ! », a écrit Liri sur un tableau blanc.

« Je suis de retour », conclut-elle en anglais, accompagnée de deux smileys.

Famille de l’ex-otage Karina Ariev : « Nous pouvons enfin entendre sa voix, voir son sourire qui nous remplit de lumière »

Des Israéliens tenant une affiche de Karina Ariev alors qu'ils assistent à la libération de quatre otages détenues par le Hamas, sur la Place des Otages, à Tel Aviv, le 25 janvier 2025. (Crédit : Tomer Neuberg/Flash90)
Des Israéliens tenant une affiche de Karina Ariev alors qu'ils assistent à la libération de quatre otages détenues par le Hamas, sur la Place des Otages, à Tel Aviv, le 25 janvier 2025. (Crédit : Tomer Neuberg/Flash90)

La famille de Karina Ariev se réjouit qu’elle soit enfin rentrée, mais elle est de tout cœur avec les autres personnes toujours retenues en otage à Gaza.

« Nos cœurs sont remplis d’une immense gratitude et d’une grande joie. Après 477 longs et pénibles jours de douleur, d’inquiétude et d’angoisse sans fin, nous avons enfin pu serrer notre Karina bien-aimée dans nos bras, entendre sa voix et voir son sourire qui nous remplit à nouveau de lumière », déclare la famille dans un communiqué.

« Notre Karina est un symbole de courage, de force de cœur et de détermination, et nous sommes fiers d’elle au-delà des mots », ajoute la famille, en remerciant tous ceux qui les ont soutenus au cours des quinze derniers mois.

« Dans le même temps, nous sommes de tout cœur avec la famille d’Agam Berger et les autres femmes qui attendent toujours leur miracle », affirment les Ariev.

« Nous ne nous tairons pas et n’aurons de cesse que chacune d’entre elles ne rentre chez elle. »

Karina, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag ont été relâchées par le groupe terroriste palestinien du Hamas ce matin après avoir été enlevées de la base de Nahal Oz, en même temps qu’Agam, le 7 octobre 2023. Agam est toujours en captivité.

« Notre fille a montré des super-pouvoirs et elle a survécu à l’enfer, » dit la famille de Liri Albag

Les otages israéliennes Liri Albag, Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy saluant sur une scène avant que des terroristes du Hamas ne les remettent à une équipe de la Croix-Rouge, dans la ville de Gaza, le 25 janvier 2025. (Crédit : AFP)
Les otages israéliennes Liri Albag, Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy saluant sur une scène avant que des terroristes du Hamas ne les remettent à une équipe de la Croix-Rouge, dans la ville de Gaza, le 25 janvier 2025. (Crédit : AFP)

La famille de Liri Albag a affirmé que l’otage qui vient d’être libérée « a montré des super-pouvoirs » et qu’elle a « survécu à l’enfer ». Elle a promis de continuer à se battre pour le retour des autres captifs.

« Un sentiment de soulagement et de bonheur nous enveloppe après 477 jours d’attente éprouvante, longue et insupportable. Nous avons enfin pu voir Liri, la serrer dans nos bras et savoir qu’elle est avec nous, en lieu sûr, entourée de l’amour de sa famille », a fait savoir sa famille dans un communiqué.

« Liri a montré des super-pouvoirs et elle a survécu à l’enfer, et nous sommes si fiers d’elle pour la solidité qu’elle a pu montrer dans des conditions impossibles », a ajouté la famille.

Les proches de l’ex-captive ont noté qu’ils étaient de tout cœur avec les familles d’Arbel Yehud, d’Agam Berger, de la famille Bibas et de tous les autres otages qui attendent toujours de rentrer chez eux.

« Nos pensées les accompagnent, même dans ces moments de joie, et nous sommes déterminés à nous battre jusqu’à ce que le dernier des otages soit rentré chez lui », ont-ils affirmé.

Israël a libéré 70 prisonniers palestiniens en Égypte – télévision publique égyptienne

Des véhicules du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) arrivant à la prison militaire d'Ofer, près de Jérusalem, le 25 janvier 2025. (Crédit : Mahmoud Illean/AP)
Des véhicules du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) arrivant à la prison militaire d'Ofer, près de Jérusalem, le 25 janvier 2025. (Crédit : Mahmoud Illean/AP)

La chaîne de télévision publique égyptienne Qahera TV affirme qu’Israël a libéré 70 prisonniers palestiniens incarcérés pour atteinte à la sécurité en Israël en Égypte dans le cadre de l’accord de cessez-le-feu à Gaza.

La chaîne précise qu’ils sont arrivés du côté égyptien du poste-frontière de Rafah avec la bande de Gaza.

Le Hamas avait auparavant libéré quatre soldates israéliennes retenues en otage depuis le 7 octobre 2023. Israël devrait libérer aujourd’hui un total de 200 prisonniers ou détenus palestiniens, dont quelque 70 seront envoyés en exil, en échange des quatre soldates.

Israël a déclaré que les Palestiniens reconnus coupables d’avoir tué des Israéliens devraient être expulsés de façon permanente s’ils sont libérés dans le cadre de l’accord de prise d’otages et de cessez-le-feu, et qu’ils ne seraient pas autorisés à retourner chez eux en Cisjordanie ou à Gaza.

Le chef d’état-major procède à une évaluation sur le couloir de Netzarim

Le chef d’état-major de Tsahal, le lieutenant-général Herzi Halevi, a achevé, il y a peu, une évaluation avec les chefs des commandements régionaux de l’armée.

Selon l’armée israélienne, Herzi Halevi a parlé des préparatifs de Tsahal concernant les troupes qui resteront déployées dans le corridor de Netzarim, au centre de la bande de Gaza. Il a souligné que les forces israéliennes étaient prêtes à intervenir dans ce secteur « jusqu’à nouvel ordre ».

Israël a déclaré que le pays ne se retirera pas de ce couloir tant que la libération de l’otage Arbel Yehud, un civil, n’aura pas été « arrangée ».

Les militaires ont fait savoir que les Palestiniens avaient été sommés « de ne pas s’approcher de cette zone avant qu’elle ne soit ouverte ».

L’évaluation a également porté sur la libération des prisonniers palestiniens en Cisjordanie dans le cadre de l’accord conclu avec le Hamas. Tsahal a déclaré avoir renforcé sa présence en Cisjordanie en prévision de leur remise en liberté.

Un responsable du Hamas déclare que l’otage civile Arbel Yehud est en vie et sera libérée samedi prochain

Arbel Yehud. (Crédit : Autorisation)
Arbel Yehud. (Crédit : Autorisation)

Un responsable du groupe terroriste palestinien du Hamas a déclaré à l’agence de presse Reuters que les médiateurs avaient été informés que l’otage civile Arbel Yehud était vivante et qu’elle serait libérée samedi prochain.

Le groupe terroriste a transmis un message similaire à la chaîne Al Jazeera, mais le Hamas n’a pas fait d’annonce officielle à ce sujet.

Cette annonce intervient après que le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu a déclaré qu’Israël n’autoriserait pas les Palestiniens à retourner dans le nord de la bande de Gaza tant que le Hamas n’aura pas libérer Arbel, qui serait détenue par le groupe terroriste du Jihad islamique palestinien.

Selon Israël, le Hamas a violé l’accord en libérant les soldates otages avant toutes les femmes civiles vivantes captives.

Le bureau du Premier ministre a annoncé sa décision punitive peu après que quatre soldates otages – Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag – ont été libérées par le Hamas à Gaza. La décision aurait été prise lors de consultations de sécurité tenues par Netanyahu la nuit dernière, peu après que le Hamas eut publié les noms des quatre soldates qu’il libérait, mais elle a été annoncée après les libérations afin de ne pas les compromettre.

Tsahal : Les quatre otages relâchées de Gaza ont rejoint « leurs parents »

Les quatre otages israéliennes libérées en échange de 200 prisonniers palestiniens incarcérés pour atteinte à la sécurité en Israël qui doivent être libérés dans la journée, ont retrouvé leurs familles dans leur pays,  annonce l’armée israélienne.

Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag, quatre soldates capturées lors du pogrom perpétré par le groupe terroriste palestinien du Hamas en Israël le 7 octobre 2023, « sont en train de retrouver leurs parents » dans le sud d’Israël, selon un communiqué militaire.

Des images montrent des véhicules transportant des otages libérées franchissant la frontière pour rentrer en Israël

Des images diffusées par l’armée israélienne montrent le moment où les soldates Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag, récemment libérées, ont franchi la frontière entre la bande de Gaza et Israël, après 477 jours de captivité dans les geôles du groupe terroriste palestinien du Hamas.

Les quatre otages ont été escortées par les forces spéciales de l’armée israélienne hors de la bande de Gaza après avoir été remised à la Croix-Rouge.

Des véhicules transportant des otages libérées franchissent la frontière israélienne le 25 janvier 2025.(Crédit : Armée israélienne)

Israël ne laissera pas les Palestiniens retourner dans le nord de Gaza tant que le Hamas n’aura pas libéré l’otage civile Arbel Yehud -bureau du Premier ministre

Arbel Yehud. (Crédit : Autorisation)
Arbel Yehud. (Crédit : Autorisation)

Israël n’autorisera pas les Palestiniens à retourner dans le nord de la bande de Gaza tant que le groupe terroriste palestinien du Hamas n’aura pas libéré Arbel Yehud, une civile prise en otage, a déclaré le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu.

« Israël a reçu aujourd’hui quatre femmes otages du groupe terroriste du Hamas et libérera en retour des prisonniers de sécurité, conformément à l’accord », indique le bureau du Premier ministre.

« Conformément à l’accord, Israël n’autorisera pas le passage des habitants de Gaza vers le nord de la bande de Gaza, jusqu’à ce que la libération de la civile Arbel Yehud, qui devait être libérée aujourd’hui, soit arrangée », ajoute le communiqué. On pense qu’Arbel est détenue par le groupe terroriste du Jihad islamique palestinien.

Cette annonce signifie que l’armée israélienne ne se retirera pas demain d’une partie du corridor de Netzarim.

En vertu de l’accord, Israël était censé se retirer de la moitié nord du corridor au septième jour du cessez-le-feu afin de permettre aux Palestiniens de retourner au nord de la bande de Gaza par la route côtière.

Selon Israël, le Hamas a violé l’accord en libérant les soldates otages avant toutes les femmes civiles vivantes captives.

Des images montrent les parents de 4 otages hurlant de joie en assistant à leur libération

Les parents des otages libérées dans le cadre de l'accord assistant à leur libération dans une installation militaire, près de Reïm, le 25 janvier 2025. (Crédit : Capture d'écran)
Les parents des otages libérées dans le cadre de l'accord assistant à leur libération dans une installation militaire, près de Reïm, le 25 janvier 2025. (Crédit : Capture d'écran)

Des images montrent les parents des quatre otages libérées aujourd’hui en train d’assister à leur libération dans une installation militaire près de Reïm.

Les familles de Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag crient de joie lorsque leurs filles apparaissent à l’écran.

Les quatre otages récemment libérées retrouvent leurs parents.

Les parents des quatre otages libérées aujourd’hui en train d’assister à leur libération dans une installation militaire près de Reïm, le 25 janvier 2025. (Crédit : Armée israélienne)

Selon des responsables de Tsahal, les quatre ex-otages sont en relativement bonne condition physique

Les soldates israéliennes retenues en otage par le Hamas, qui devraient être libérés le 25 janvier 2025 : en haut (de gauche à droite) Karina Ariev, Daniella Gilboa ; en bas (de gauche à droite) Naama Levy, Liri Albag. (Crédit : Autorisaiton)
Les soldates israéliennes retenues en otage par le Hamas, qui devraient être libérés le 25 janvier 2025 : en haut (de gauche à droite) Karina Ariev, Daniella Gilboa ; en bas (de gauche à droite) Naama Levy, Liri Albag. (Crédit : Autorisaiton)

Les soldates Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag, qui ont été libérées, sont en relativement bonne condition physique, selon des responsables militaires.

Les quatre ont été examinées par des médecins de l’armée lorsqu’elles ont été remises à Tsahal par la Croix-Rouge à l’intérieur de Gaza.

« Leur état de santé est normal et ne nécessite pas d’intervention médicale particulière », précisent les responsables.

Elles subiront d’autres évaluations par des médecins et des responsables de la santé mentale dans une base militaire près de la frontière, avant d’être emmenées dans un hôpital.

Porte-parole de Tsahal : le Hamas a violé l’accord en ne libérant pas d’abord toutes les femmes civiles

La famille Bibas, le père Yarden, la mère Shiri, le bébé Kfir et Ariel, âgé de quatre ans, ont été pris en otage par des terroristes du Hamas dans le kibboutz Nir Oz le 7 octobre 2023. (Crédit : Autorisation)
La famille Bibas, le père Yarden, la mère Shiri, le bébé Kfir et Ariel, âgé de quatre ans, ont été pris en otage par des terroristes du Hamas dans le kibboutz Nir Oz le 7 octobre 2023. (Crédit : Autorisation)

Le porte-parole de l’armée israélienne, le contre-amiral Daniel Hagari, déclare que le groupe terroriste palestinien du Hamas a violé l’accord de cessez-le-feu en ne libérant pas toutes les femmes civiles avant les soldates.

« Le Hamas n’a pas respecté l’obligation qui lui incombait en vertu de l’accord de libérer d’abord les femmes civiles », déclare-t-il lors d’une allocution télévisée.

Arbel Yehud. (Crédit : Autorisation)

Hagari affirme qu’Israël veillera à ce que l’otage civile Arbel Yehud, dont Israël pense qu’elle est en vie, soit bientôt libérée, de même que Shiri Bibas et ses deux jeunes enfants, Ariel et le bébé Kfir.

En ce qui concerne la famille Bibas, il déclare qu’il y a de « graves inquiétudes quant à leur sort ».

Shiri Bibas avec ses fils Ariel, quatre ans et bébé Kfir, qui ont été enlevés au kibboutz Nir Oz par des terroristes du Hamas, le 7 octobre 2023. (Crédit : Autorisation)

Il ajoute qu’Israël espère obtenir bientôt plus d’informations sur la famille Bibas.

Hagari déclare également que l’armée est « déterminée à retrouver » Agam Berger, une autre soldate de surveillance enlevée le 7 octobre 2023, ainsi que tous les autres otages.

Agam Berger, une soldate de surveillance des communications à la base militaire de Nahal Oz, a été enlevée par des terroristes du Hamas le 7 octobre 2023. (Crédit : Autorisation)

Les otages libérées Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag ont franchi la frontière israélienne

Les otages israéliennes Liri Albag, Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy saluant sur une scène avant que des terroristes du Hamas ne les remettent à une équipe de la Croix-Rouge, dans la ville de Gaza, le 25 janvier 2025. (Crédit : AFP)
Les otages israéliennes Liri Albag, Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy saluant sur une scène avant que des terroristes du Hamas ne les remettent à une équipe de la Croix-Rouge, dans la ville de Gaza, le 25 janvier 2025. (Crédit : AFP)

Les soldates Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag, qui ont été relâchées, ont franchi la frontière israélienne, annonce l’armée israélienne.

Elles ont été escortées hors de la bande de Gaza par les forces spéciales israéliennes après avoir été remises par la Croix-Rouge.

Tsahal les emmène dans un centre proche de la frontière pour un premier examen et pour retrouver leurs parents pour la première fois après 477 jours de captivité dans les geôles du groupe terroriste palestinien du Hamas.

Les quatre sont des soldates de surveillance qui ont été enlevées par des terroristes du Hamas au poste de Nahal Oz lors de l’assaut du 7 octobre 2023.

Les amis et la famille des otages libérées se réjouissent du retour des soldates « héroïques » libérées par le Hamas

Les otages israéliennes Liri Albag, Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy saluant sur une scène avant que des terroristes du Hamas ne les remettent à une équipe de la Croix-Rouge, dans la ville de Gaza, le 25 janvier 2025. (Crédit : John Wessels/AFP)
Les otages israéliennes Liri Albag, Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy saluant sur une scène avant que des terroristes du Hamas ne les remettent à une équipe de la Croix-Rouge, dans la ville de Gaza, le 25 janvier 2025. (Crédit : John Wessels/AFP)

Les amis et les familles des quatre otages libérées expriment leur joie que Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag soient sur le point de rentrer en Israël.

« Oui ! Oui ! Oui ! Liri l’héroîne », disent les amis de Liri au site d’information Ynet.

« Nous avons vu Liri revenir. Elle a fait un signe de la main et elle a l’air d’aller bien. C’est fou. Nous étions très inquiets, mais c’est une héroïne avec un grand sourire. »

La famille de Daniella explique à la chaîne N12 qu’elle a été bouleversée de la voir sortir du véhicule du Hamas.

« C’est une héroïne. Nous étions si heureux de la voir sur ses pieds », disent-ils.

L’un des amis de Naama a déclaré à Ynet que les quatre femmes étaient « incroyables » et qu’ils avaient craint qu’elles ne soient pas sur leurs deux jambes.

« Je n’ai pas de mots pour décrire ce que je ressens maintenant en voyant Naama sur pied remise avec les trois autres filles extraordinaires et héroïques », dit un ami sous couvert d’anonymat.

« Nous ne savons pas ce qu’elle a vécu là-bas, et nous ne pouvons qu’imaginer l’enfer. J’ai pensé au pire, j’ai cauchemardé qu’elle sortait dans le pire état possible, assise ou couchée, voire pire », ajoute l’amie.

La soldate de surveillance Agam Berger est toujours en captivité dans les geôles du groupe terroriste palestinien du Hamas. Les cinq femmes ont été enlevées de la base de Nahal Oz le 7 octobre 2023.

Les otages libérées Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag remises à Tsahal à Gaza

Une fresque représentant des soldates israéliennes devant être libérées par le Hamas dans la bande de Gaza est exposée, à Tel Aviv, en Israël, le 24 janvier 2025. (Crédit : Maya Alleruzzo/AP)
Une fresque représentant des soldates israéliennes devant être libérées par le Hamas dans la bande de Gaza est exposée, à Tel Aviv, en Israël, le 24 janvier 2025. (Crédit : Maya Alleruzzo/AP)

Les soldates otages libérées Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag sont maintenant entre les mains des troupes de l’armée israélienne dans la bande de Gaza.

Le groupe terroriste palestinien du Hamas avait remis les quatre otages à la Croix-Rouge, qui les a remis à Tsahal.

Elles seront emmenées hors de Gaza vers un centre situé près de la frontière pour un premier examen et pour retrouver leurs parents pour la première fois après 477 jours de captivité dans les geôles du Hamas.

La foule de la Place des Otages applaudit la remise de 4 femmes à la Croix-Rouge par le Hamas

Des Israéliens réagissant à l'annonce de la libération des otages, à Tel Aviv, le 25 janvier 2025. (Crédit : Ariel Schalit/AP)
Des Israéliens réagissant à l'annonce de la libération des otages, à Tel Aviv, le 25 janvier 2025. (Crédit : Ariel Schalit/AP)

Des images de la Place des Otages, à Tel Aviv, montrent la foule en train d’applaudir lorsque Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag sont libérées par le groupe terroriste palestinien du Hamas et remises à la Croix-Rouge internationale.

Tsahal : la Croix-Rouge a confirmé que 4 femmes otages lui ont été remises à Gaza

Des terroristes du Hamas escortant quatre otages israéliennes sur une scène avant de les remettre à une équipe de la Croix-Rouge, dans la ville de Gaza, le 25 janvier 2025. (Crédit : Omar al-Qattaa/AFP)
Des terroristes du Hamas escortant quatre otages israéliennes sur une scène avant de les remettre à une équipe de la Croix-Rouge, dans la ville de Gaza, le 25 janvier 2025. (Crédit : Omar al-Qattaa/AFP)

L’armée israélienne a été informée par la Croix-Rouge que les otages Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag lui avaient été remised par le groupe terroriste palestinien du Hamas.

La Croix-Rouge est en train d’amener les otages aux forces de Tsahal et de l’agence de sécurité intérieure du Shin Bet à l’intérieur de la bande de Gaza, précise l’armée.

Les otages Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag libérées par le Hamas et remises à la Croix-Rouge

Les otages israéliennes Liri Albag, Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy saluant sur une scène avant que des terroristes du Hamas ne les remettent à une équipe de la Croix-Rouge, dans la ville de Gaza, le 25 janvier 2025. (Crédit : John Wessels/AFP)
Les otages israéliennes Liri Albag, Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy saluant sur une scène avant que des terroristes du Hamas ne les remettent à une équipe de la Croix-Rouge, dans la ville de Gaza, le 25 janvier 2025. (Crédit : John Wessels/AFP)

Les quatre otages, les soldates Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag sont remises à la Croix-Rouge internationale.

Les quatre femmes montent sur une scène installée par le groupe terroriste palestinien du Hamas sur une place bondée de la ville de Gaza avant leur libération.

Toutes les quatre sont vêtues d’uniformes « style militaire » et tiennent des « sacs-cadeaux » qui leur ont été remis par le Hamas.

Paraissant en bonne santé, elles sourient et saluent de la scène pendant la brève cérémonie de remise des otages organisée par le groupe terroriste palestinien du Hamas.

Elles sont ensuite conduites directement dans les véhicules de la Croix-Rouge.

Des représentants de la Croix-Rouge montent sur la scène de la place de Gaza-City pour signer les documents nécessaires à la libération des otages

Des représentants de la Croix-Rouge et des terroristes armés du Hamas signant des documents avant la libération de quatre otages israéliennes, dans la ville de Gaza, le 25 janvier 2025. (Crédit :  Capture d'écran/YouTube)
Des représentants de la Croix-Rouge et des terroristes armés du Hamas signant des documents avant la libération de quatre otages israéliennes, dans la ville de Gaza, le 25 janvier 2025. (Crédit : Capture d'écran/YouTube)

Des représentants de la Croix-Rouge internationale sont montés sur une scène de la place de Gaza où ils signent vraisemblablement des documents avant la libération attendue des quatre otages israéliennes.

Une scène avec un bureau en bois a été installée sur la place, où des milliers de spectateurs sont rassemblés aux côtés de terroristes armés du Hamas.

Cette scène rappelle la dernière remise d’otages, au cours de laquelle le personnel de la Croix-Rouge avait été invité à signer des formulaires et les femmes libérées avaient reçu des « sacs-cadeaux » de la part du groupe terroriste palestinien.

Des véhicules de la Croix-Rouge arrivent sur la place de Gaza-City en vue de la remise attendue de quatre otages

Un véhicule de la Croix-Rouge arrivant sur une place de Gaza-City avant la libération attendue de quatre otages israéliennes, le 25 janvier 2025. (Crédit : Capture d’écran Reuters via YouTube)
Un véhicule de la Croix-Rouge arrivant sur une place de Gaza-City avant la libération attendue de quatre otages israéliennes, le 25 janvier 2025. (Crédit : Capture d’écran Reuters via YouTube)

Un convoi de véhicules de la Croix-Rouge est arrivé sur une place de la ville de Gaza où le Hamas doit remettre quatre otages israéliennes.

Le groupe terroriste palestinien du Hamas a installé une scène où la remise aura lieu.

Des dizaines de terroristes du Hamas et du Jihad islamique palestinien en uniforme sont visibles sur la place.

Israël doit libérer 200 Palestiniens en échange des 4 otages – sources palestiniennes

Israël doit libérer samedi 200 Palestiniens palestiniens incarcérés pour atteinte à la sécurité en Israël en échange de quatre soldates prises en otage par le groupe terroriste palestinien du Hamas le 7 octobre 2023, dans le cadre de l’accord de trêve, ont indiqué à l’AFP des sources palestiniennes.

Cette liste de prisonniers, dont certains seront ramenés à Gaza et d’autres en Cisjordanie, comprend 120 condamnés à la réclusion à perpétuité, parmi lesquels 70 doivent être exilés hors des Territoires palestiniens, a précisé une de ces deux sources sous couvert d’anonymat, compte tenu de la sensibilité du sujet.

Hamas : 70 des prisonniers palestiniens qui seront libérés aujourd’hui seront envoyés hors de Gaza et de Cisjordanie

Le groupe terroriste palestinien du Hamas affirme que 70 des 200 prisonniers palestiniens incarcérés pour atteinte à la sécurité en Israël qui seront libérés aujourd’hui seront expulsés hors de la bande de Gaza et de la Cisjordanie, selon un communiqué du groupe terroriste.

Israël a déclaré que les Palestiniens reconnus coupables d’avoir tué des Israéliens devraient être expulsés de façon permanente s’ils sont libérés dans le cadre de l’accord de cessez-le-feu et qu’ils ne seraient pas autorisés à retourner en Cisjordanie ou dans la bande de Gaza.

Des images montrent les terroristes du Hamas réunis sur une place de Gaza-City avant la libération attendue des otages

Des terroristes du Hamas et du Jihad islamique palestinien réunis, sur une place de Gaza avant la libération prévue de quatre otages israéliennes, le 25 janvier 2025. (Crédit : Capture d’écran/Al Jazeera)
Des terroristes du Hamas et du Jihad islamique palestinien réunis, sur une place de Gaza avant la libération prévue de quatre otages israéliennes, le 25 janvier 2025. (Crédit : Capture d’écran/Al Jazeera)

Des dizaines de terroristes palestiniens du Hamas en uniforme, ainsi que du groupe terroriste du Jihad islamique palestinien, sont rassemblés sur une place de la ville de Gaza avant la libération de quatre otages israéliennes.

Des images diffusées par Al Jazeera montrent une grande foule de Palestiniens également présents.

La semaine dernière, le groupe terroriste palestinien du Hamas a procédé à une démonstration de force similaire lors de la libération de trois otages.

Sur le site de la remise des otages, des terroristes du Hamas se tiennent au-dessus d’une grande banderole en hébreu sur laquelle on peut lire « Le sionisme ne gagnera pas ». Cette banderole comporte les emblèmes de plusieurs unités de l’armée israélienne et de l’agence de sécurité intérieure du Shin Bet.

Une autre banderole placée en dessous montre des images de plusieurs responsables israéliens et d’officiers de Tsahal, avec le texte « Échec » au-dessus de chacune d’elles.

Une banderole montrant des images de plusieurs responsables israéliens et d’officiers de l’armée israélienne, avec le texte « Échec » au-dessus de chacun d’entre eux, sur une place de Gaza avant la libération attendue de quatre otages israéliennes, le 25 janvier 2025. (Crédit : Capture d’écran/A Jazeera)

Les parents des quatre otages attendent à la frontière de Gaza

Shira Albag, mère de la soldate otage Liri Albag, prenant la parole lors d'un rassemblement appelant à la libération des Israéliens retenus en otage par les terroristes du Hamas à Gaza, sur la Place des Otages, à Tel Aviv, le 11 janvier 2025. (Crédit : Avshalom Sassoni/Flash90)
Shira Albag, mère de la soldate otage Liri Albag, prenant la parole lors d'un rassemblement appelant à la libération des Israéliens retenus en otage par les terroristes du Hamas à Gaza, sur la Place des Otages, à Tel Aviv, le 11 janvier 2025. (Crédit : Avshalom Sassoni/Flash90)

Les parents des otages Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag attendront dans une installation de l’armée près de la frontière avec la bande de Gaza – à proximité de Reïm – de rencontrer leurs filles pour la première fois après 477 jours de captivité.

Si l’une des otages a besoin de soins médicaux immédiats, elle sera transportée par avion directement vers un hôpital en Israël, sans passer par le site militaire.

Dans l’établissement de Tsahal, les otages subiront un premier examen de santé physique et mentale et changeront de vêtements.

Les quatre otages sont des soldates de surveillance qui ont été enlevées par des terroristes du Hamas au poste de Nahal Oz lors du pogrom du 7 octobre 2023.

Des véhicules de la Croix-Rouge se rendent au point de passage de Kerem Shalom avant la libération de prisonniers palestiniens

Le réseau Al-Jazeera diffuse des images de véhicules de la Croix-Rouge se rendant de Rafah, à Gaza, au point de passage de Kerem Shalom, en Israël.

La Croix-Rouge facilitera le transfert des prisonniers palestiniens incarcérés pour atteinte à la sécurité en Israël libérés dans la bande de Gaza après la libération de quatre otages israéliennes par le groupe terroriste palestinien du Hamas.

La plupart des prisonniers iront en Cisjordanie, mais certains devraient être envoyés à Gaza.

Tsahal déclare avoir terminé les préparatifs pour le retour de quatre otages aujourd’hui

L’armée israélienne déclare avoir terminé les préparatifs pour le retour de quatre otages enlevées et détenues par le groupe terroriste palestinien du Hamas aujourd’hui.

Les quatre otages, les soldates Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag, seront d’abord emmenées dans une installation de Tsahal près de la frontière, où elles subiront un examen initial.

De là, elles seront conduites dans un hôpital pour retrouver leurs familles pour la première fois après 477 jours.

À VOIR : La famille d’une soldate otage se réjouit après que le Hamas a annoncé qu’elle serait libérée de Gaza aujourd’hui

Les soldates israéliennes retenues en otage par le Hamas, qui devraient être libérés le 25 janvier 2025 : en haut (de gauche à droite) Karina Ariev, Daniella Gilboa ; en bas (de gauche à droite) Naama Levy, Liri Albag. (Crédit : Autorisaiton)
Les soldates israéliennes retenues en otage par le Hamas, qui devraient être libérés le 25 janvier 2025 : en haut (de gauche à droite) Karina Ariev, Daniella Gilboa ; en bas (de gauche à droite) Naama Levy, Liri Albag. (Crédit : Autorisaiton)

Des images publiées sur les réseaux sociaux montrent la famille de Daniella Gilboa, soldate de surveillance, retenue en otage par le Hamas à Gaza depuis le 7 octobre 2023, en train de faire la fête après que le groupe terroriste palestinien a annoncé qu’elle serait libérée plus tard dans la journée dans le cadre de l’accord de cessez-le-feu.

Une vidéo publiée par la mère de Daniella montre la famille en train d’applaudir et de chanter autour de la table du dîner de Shabbat, tandis qu’une autre, vraisemblablement filmée depuis un immeuble voisin, les montre en train de faire la fête sur le balcon.

Daniella est l’une des sept soldates enlevées dans l’unité de surveillance de l’armée israélienne à la base militaire de Nahal Oz lors du pogrom perpétré par le groupe terroriste palestinien du Hamas le 7 octobre 2023.

Trois autres soldates otages, Liri Albag, Karina Ariev et Naama Levy, devraient également être libérées en même temps que Daniella. L’accord stipule que pour chacune des soldates, Israël libérera 50 prisonniers palestiniens incarcérés pour atteinte à la sécurité en Israël, dont 30 terroristes condamnés à perpétuité.

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