Israël en guerre - Jour 474

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Des avions de combat ont frappé une cellule du Hezbollah repérée par les troupes de la brigade Golani

Israël ne réagira probablement pas à l'Iran avant la fin de Pessah ; À la tête de 48 pays à l'ONU, les États-Unis condamnent l'attaque iranienne ; Le G7 s'engage à coordonner étroitement les sanctions à l'encontre de Téhéran

  • Une femme cuisinant à l'extérieur de son abri de fortune, dans un camp de déplacés palestiniens à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, le 14 avril 2024. (Crédit : AFP)
    Une femme cuisinant à l'extérieur de son abri de fortune, dans un camp de déplacés palestiniens à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, le 14 avril 2024. (Crédit : AFP)
  • Des membres de l'armée iranienne défilant lors de la Journée de l'Armée dans une base militaire au nord de Téhéran, en Iran, le 17 avril 2024. (Crédit : Vahid Salemi/AP)
    Des membres de l'armée iranienne défilant lors de la Journée de l'Armée dans une base militaire au nord de Téhéran, en Iran, le 17 avril 2024. (Crédit : Vahid Salemi/AP)
  • Des terroristes du Hezbollah saluant et brandissant les drapeaux jaunes du groupe lors des funérailles de combattants tués lors d'une frappe israélienne sur leurs véhicules, à Shehabiya dans le sud du Liban, le 17 avril 2024. (Crédit : AFP)
    Des terroristes du Hezbollah saluant et brandissant les drapeaux jaunes du groupe lors des funérailles de combattants tués lors d'une frappe israélienne sur leurs véhicules, à Shehabiya dans le sud du Liban, le 17 avril 2024. (Crédit : AFP)
  • Des Palestiniens profitant de la plage à Deir el-Balah, dans le centre de la bande de Gaza, le 17 avril 2024. (Crédit : AFP)
    Des Palestiniens profitant de la plage à Deir el-Balah, dans le centre de la bande de Gaza, le 17 avril 2024. (Crédit : AFP)
  • Un navire militaire israélien patrouillant au large d'Eilat, le 17 avril 2024 (Crédit : Jamal Awad/Flash90)
    Un navire militaire israélien patrouillant au large d'Eilat, le 17 avril 2024 (Crédit : Jamal Awad/Flash90)

Le Hezbollah publie une vidéo montrant une attaque sur la base de contrôle aérien de Tsahal au mont Meron

Le Hezbollah a ciblé la base sensible de contrôle aérien de l’armée israélienne au mont Meron dans une attaque de missiles guidés anti-char mercredi.

Une vidéo publiée par le groupe terroriste montre un missile frappant un système radar au sommet de la montagne dans le nord d’Israël.

Tsahal a déclaré que l’attaque n’avait pas fait de blessés.

Le Hezbollah a attaqué le mont Meron, situé à environ huit kilomètres de la frontière libanaise, à plusieurs reprises au cours de la guerre, en lançant des barrages de roquettes sur la montagne, ainsi que des missiles guidés sur la base qui se trouve au sommet de la montagne.

Les sirènes retentissent à nouveau dans les villes du nord ; 3 roquettes auraient atterri dans des zones ouvertes

Les sirènes d’alerte aux missiles ont retenti à nouveau il y a peu dans les villes du nord près de la frontière libanaise.

Des sirènes d’alerte à la fusée ont retenti dans des villes en grande partie évacuées, notamment HaGoshrim, Beit Hillel et Ma’ayan Baruch.

La Douzième chaîne rapporte que trois roquettes tirées depuis le Liban ont atterri dans des zones ouvertes près de Beit Hillel.

Aucune victime n’a été signalée dans cette attaque.

Erdan juge « immoral » l’examen par l’ONU de la demande d’adhésion de l’AP

L'ambassadeur d'Israël à l'ONU, Gilad Erdan, s'exprime lors d'une réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies sur la situation au Moyen-Orient, au siège de l'ONU à New York, le 18 avril 2024. (Crédit : Angela Weiss/AFP)
L'ambassadeur d'Israël à l'ONU, Gilad Erdan, s'exprime lors d'une réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies sur la situation au Moyen-Orient, au siège de l'ONU à New York, le 18 avril 2024. (Crédit : Angela Weiss/AFP)

L’ambassadeur israélien à l’ONU Gilad Erdan a une nouvelle fois fustigé le simple fait que le Conseil examine cette requête qu’il a jugée « immorale ».

« Un Etat pacifique, quelle blague! », a-t-il lancé, en référence à la Charte de l’ONU qui stipule qu’une des conditions pour adhérer aux Nations unies est d’être un Etat « pacifique ».

Erdan estime que l’octroi du statut de membre à part entière à l’AP « récompenserait les partisans et les auteurs » du massacre perpétré par le Hamas le 7 octobre dans le sud d’Israël, au cours duquel quelque 3 000 terroristes ont fait irruption en Israël par voie terrestre, aérienne et maritime, tuant quelque 1 200 personnes et prenant 253 otages, pour la plupart des civils, dans le cadre d’actes de brutalité et d’agressions sexuelles.

« Les assassins et les violeurs d’enfants du Hamas observent cette réunion et sourient. »

« Combien de fois ce conseil s’est-il réuni pour discuter des moyens de faire avancer la libération de nos otages détenus à Gaza ? Combien de fois ? Pas même une fois », s’est exclamé Erdan lors de la session du Conseil de sécurité.

« Combien de condamnations ce conseil a-t-il prononcées contre le Hamas pour son odieux massacre du 7 octobre ? Zéro ».

« A quel point ce conseil peut-il être détaché de la réalité pour consacrer son temps et ses ressources à soutenir une résolution aussi déconnectée de la réalité sur le terrain. Une résolution qui n’aura aucun impact positif pour aucune des parties. Elle ne fera que détruire pour les années à venir et nuire à toute chance de dialogue futur », déclare-t-il.

Les États-Unis devraient opposer leur veto à la demande d’adhésion.

– avec AFP

Un statut d’Etat membre pour les Palestiniens « allégerait » une « injustice historique », dit un responsable de l’AP

Ziad Abu-Amr, membre du Conseil législatif palestinien, quitte la salle lors d'une réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies sur la situation au Moyen-Orient au siège de l'ONU à New York, le 18 avril 2024. (Crédit : Angela Weiss/AFP)
Ziad Abu-Amr, membre du Conseil législatif palestinien, quitte la salle lors d'une réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies sur la situation au Moyen-Orient au siège de l'ONU à New York, le 18 avril 2024. (Crédit : Angela Weiss/AFP)

Un statut d’Etat membre à part entière de l’ONU « allégerait une partie de l’injustice historique » qui pèse sur les Palestiniens, a plaidé jeudi un haut responsable de l’Autorité palestinienne à quelques heures d’un vote du Conseil de sécurité sur cette question.

« Accorder à la Palestine une adhésion pleine et entière aux Nations unies allégerait une partie de l’injustice historique subie par des générations de Palestiniens », a déclaré Ziad Abu Amr devant le Conseil de sécurité.

Après une certaine confusion, le vote sur la demande d’adhésion des Palestiniens est désormais programmé jeudi à 17H00 (21H00 GMT), selon la présidence maltaise du Conseil.

L’admission d’un Etat à l’ONU doit d’abord recevoir une recommandation positive du Conseil (au moins 9 voix sur 15 en faveur, sans veto d’un membre permanent), puis être approuvée par l’Assemblée générale, à la majorité des deux-tiers.

Les États-Unis, ayant déclaré que l’ONU n’est pas le lieu de reconnaissance d’un État palestinien, qui doit être le résultat d’un accord de paix avec Israël, devraient utiliser leur droit de veto.

Le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a déposé une demande d’adhésion en 2011, mais celle-ci n’a jamais été soumise au vote du Conseil de sécurité. L’Assemblée générale a ensuite voté pour accorder aux Palestiniens le statut d’observateur en novembre 2012.

« Comment le statut d’Etat membre de la Palestine pourrait-il (…) mettre en danger les perspectives de paix entre Palestiniens et Israéliens? », a lancé Ziad Abu Amr.

« Cette question, nous la posons spécifiquement aux Etats-Unis et à d’autres pays » qui s’y opposent, a-t-il ajouté.

Notant qu’une telle adhésion pleine et entière ne remplacerait pas « des négociations politiques sérieuses » avec Israël, il a estimé qu’elle donnerait au peuple palestinien un « espoir d’une vie décente dans un Etat indépendant ».

Tsahal récupère le drone qui s’est écrasé dans le centre de Gaza

Un soldat avec un drone Skylark durant un entraînement sur la base militaire de Tzelim le 5 août 2013. (Miriam Alster/Flash90)
Un soldat avec un drone Skylark durant un entraînement sur la base militaire de Tzelim le 5 août 2013. (Miriam Alster/Flash90)

L’armée israélienne déclare qu’un drone qui s’est écrasé dans le centre de la bande de Gaza cette semaine en raison d’une défaillance technique a été récupéré par les troupes.

« Les pièces de l’avion ont été récupérées et renvoyées en Israël », précise l’armée.

Elle ajoute que l’incident a fait l’objet d’une enquête et que « des leçons ont été tirées ».

Les sirènes d’alerte retentissent à nouveau dans les villes frontalières du nord

Les sirènes d’alerte à l’infiltration de projectiles aériens hostiles retentissent à nouveau dans un certain nombre de villes situées à la frontière nord avec le Liban, mettant en garde contre des tirs de roquettes imminents.

Les sirènes retentissent dans les villes en grande partie évacuées, notamment Eilon, Hanita, Zarit, Even Menachem, Gornot HaGalil, Adamit, Shtula, Ya’ara, Goren, Arab al-Aramshe et Shomera.

Il y a peu, Tsahal a déclaré que les sirènes d’intrusion d’avions hostiles qui ont retenti dans la région étaient des fausses alertes.

Des avions de combat ont frappé une cellule du Hezbollah repérée par les troupes de la brigade Golani

Des avions de combat israéliens ont frappé une cellule du Hezbollah dans le sud du Liban plus tôt aujourd’hui, après qu’elle a été repérée par les troupes de la brigade Golani, selon Tsahal.

L’armée israélienne précise que les troupes de la brigade Golani, à l’aide d’un drone, ont identifié plusieurs membres du Hezbollah entrant dans un bâtiment dans la ville de Blida et ont déclenché l’attaque.

L’armée déclare également que les alertes de drones suspectés qui ont retenti plus tôt en Galilée occidentale étaient de fausses alertes.

Le Moyen-Orient au bord du « précipice » d’un « conflit généralisé », s’alarme le chef de l’ONU

Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, s'exprimant lors d'une conférence de presse, au siège de l'ONU, à New York, le 8 février 2024. (Crédit : Angela Weiss/AFP)
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, s'exprimant lors d'une conférence de presse, au siège de l'ONU, à New York, le 8 février 2024. (Crédit : Angela Weiss/AFP)

Le Moyen-Orient est au bord du « précipice » d’un « conflit régional généralisé », a alerté jeudi le secrétaire général de l’ONU devant le Conseil de sécurité, dénonçant également « l’enfer humanitaire » créé, selon lui, par les opérations israéliennes à Gaza.

« Le Moyen-Orient est au bord du précipice. Les derniers jours ont vu une escalade dangereuse, par les mots et les actions », a déclaré Antonio Guterres.

« Une erreur de calcul, une mauvaise communication, une méprise, pourrait conduire à l’impensable, un conflit régional généralisé qui serait dévastateur pour tous ceux concernés, et pour le reste du monde », a-t-il lancé, condamnant notamment à nouveau l’attaque sans précédent de l’Iran contre Israël le week-end dernier.

« Ce moment de danger maximal doit être un moment de retenue maximale », a-t-il plaidé. « Il est grand temps de mettre un terme au cycle sanglant de représailles ».

« Nous avons la responsabilité ensemble de faire face à ces risques et d’éloigner la région du précipice », a-t-il insisté. « En commençant par Gaza ».

Il a dénoncé dans les termes les plus forts l’opération israélienne dans le territoire palestinien, réitérant son appel à un cessez-le-feu immédiat, à l’accès sans entrave de l’aide humanitaire et à la libération de tous les otages.

« A Gaza, six mois et demi d’opérations militaires israéliennes ont créé un enfer humanitaire », a-t-il déploré, décrivant deux millions de Palestiniens endurant « la mort, la destruction, le déni d’aide humanitaire vitale », et la faim.

« Le bilan des victimes est accablant et sans précédent, par le rythme et l’ampleur, depuis que je suis secrétaire général » (2017), a-t-il souligné.

« Et tout cela se produit avec des limites importantes imposées par les autorités israéliennes sur la livraison d’aide à la population de Gaza, qui fait face à la faim généralisée ».

29 millions de shekels saisis à Gaza « confisqués » par l’État

L'argent liquide saisi par Tsahal dans la bande de Gaza est vu en train d'être compté avant d'être déposé à la Banque d'Israël, le 18 avril 2024. (Crédit : ministère de la Défense)
L'argent liquide saisi par Tsahal dans la bande de Gaza est vu en train d'être compté avant d'être déposé à la Banque d'Israël, le 18 avril 2024. (Crédit : ministère de la Défense)

Le ministère de la Défense et Tsahal ont indiqué avoir saisi un total de 29 millions de shekels en espèces dans la bande de Gaza, et les avoir « confisqués » au profit de l’État.

L’argent a été saisi dans les bastions du Hamas et aux domiciles de terroristes lors des opérations terrestres de Tsahal dans la bande de Gaza, a précisé le ministère.

12 millions de shekels ont été déposés aujourd’hui à la Banque d’Israël et viennent s’ajouter aux 17 millions de shekels saisis et confisqués depuis le début de la guerre.

Le ministère a précisé que d’autres sommes d’argent étaient encore en cours de dépôt.

Au début de l’année, Tsahal a indiqué avoir saisi 20 millions de shekels en espèces dans un tunnel du Hamas.

Gaza : un sac de farine passe de 1 800 shekels, au plus fort de la guerre, à 95 shekels

Quelque deux semaines après le retrait des forces terrestres de l’armée israélienne de Gaza, et un jour après le buzz dans la presse israélienne provoqué par des photos de Palestiniens profitant de la plage, des articles font état de signes de retour à la normale dans des zones telles que le nord de la bande de Gaza, Gaza City, et la ville de Khan Younès, dans le sud de la bande.

Le coordinateur des activités gouvernementales dans les territoires (COGAT), l’unité du ministère de la Défense israélien chargée de la liaison avec les Palestiniens, a diffusé une publication montrant des scènes de marché dans le nord de la bande de Gaza.

Les photos de marchés à Gaza montrent des étals proposant une grande variété de légumes, notamment des tomates, des pommes de terre, des poivrons et des oignons, ainsi que des produits de base comme des œufs, des épices et de la farine.

La Douzième chaîne a cité un photographe de Gaza, Ayman Amriti, qui a indiqué que le prix d’un sac de farine de 25 kilogrammes était passé de 1 800 shekels au plus fort de la guerre à 95 shekels, mais que la plupart des gens avaient encore du mal à joindre les deux bouts.

Une boîte de 30 œufs est actuellement vendue à Gaza au prix de 38 shekels, contre 10 shekels par œuf il y a un mois.

Selon le reportage de la Douzième chaîne, la viande, les snacks et les pastèques étaient également disponibles dans la bande de Gaza.

Le COGAT a fait savoir en début de semaine que les 23 boulangeries actuellement en activité à Gaza produisaient environ trois millions de pains pita par jour.

Israël attend l’arrivée d’un navire américain venu construire une jetée sur la côte de Gaza

Israël attend l’arrivée du premier navire américain JLOTS, conçu pour construire une jetée au large de la côte de Gaza, dans le port d’Ashdod samedi, selon des prévisions consultées aujourd’hui par le Times of Israel.

Par ailleurs, Jérusalem a estimé que la partie turque de la Freedom Flotilla Coalition (la coalition de la flottille pour la liberté) devrait mettre le cap sur Gaza le 22 ou le 23 avril et arriver au large des côtes trois jours plus tard, selon un responsable israélien interrogé par le Times of Israel, mais ces prévisions restent spéculatives.

La flottille a déjà subi une série de retards.

L’une des 12 organisations de la coalition est la Fondation turque d’aide humanitaire (IHH), qui a organisé la flottille de 2010 au cours de laquelle une bataille meurtrière a éclaté sur le Mavi Marmara entre des membres de l’IHH et des commandos de Tsahal.

Fin du raid de Tsahal sur le centre de Gaza : 100 sites détruits, 40 terroristes tués

Les troupes de Tsahal opèrent à l'entrée d'un tunnel dans le centre de la bande de Gaza, dans une image handout publiée le 18 avril 2024. (Crédit : Armée israélienne)
Les troupes de Tsahal opèrent à l'entrée d'un tunnel dans le centre de la bande de Gaza, dans une image handout publiée le 18 avril 2024. (Crédit : Armée israélienne)

L’armée israélienne a annoncé la fin de son raid ciblé contre le groupe terroriste palestinien du Hamas dans le centre de la bande de Gaza, au cours duquel les troupes ont détruit plus de 100 sites appartenant aux différents groupes terroristes de l’enclave, tué une quarantaine de membres de ces groupes et élargi le corridor est-ouest contrôlé par l’armée.

L’opération, menée par la 401e brigade blindée et d’autres troupes de la 162e division à la périphérie du camp de Nuseirat, avait pour objectif de débarrasser la zone des terroristes du Hamas, de détruire son infrastructure, notamment un réseau de tunnels qui permettait de passer de Nuseirat à la ville de Gaza, et d’élargir le corridor de Netzarim.

Ce corridor, construit autour d’une route au sud de la ville de Gaza et au nord de Nuseirat, permet à Tsahal de mener des raids dans le nord et le centre de Gaza, tout en garantissant à Israël le contrôle de l’accès vers le nord pour les Palestiniens désireux de revenir après avoir fui vers le sud.

Au cours de l’opération menée près de Nuseirat, Tsahal a dit avoir détruit deux sites de fabrication de roquettes, l’un appartenant au Hamas et l’autre au Jihad islamique palestinien, sur un total d’une centaine de sites.

L’armée affirme également avoir démoli 17 entrées de tunnels, qui reliaient au moins cinq réseaux souterrains distincts. Des roquettes et des rampes de lancement ont également été découvertes et détruites au cours de l’opération.

Une quarantaine de terroristes armés ont été tués au cours des combats, y compris lors de frappes aériennes, selon Tsahal. Une série de frappes aériennes ont été effectuées dans la région avant l’offensive.

La 162e division s’est en grande partie retirée de Gaza. La brigade Nahal de la division reste la seule unité dans la bande de Gaza, et opère dans le corridor de Netzarim, où, toujours selon Tsahal, les troupes auraient tué plus de 1 000 terroristes ces trois derniers mois.

La brigade Nahal devrait être remplacée dans le corridor de Netzarim par une brigade de réservistes, afin de permettre à toutes les forces de la division de se préparer à des opérations futures, et notamment à des offensives prévues à Rafah et dans le centre de la bande de Gaza.

Les Houthis revendiquent 14 opérations en 15 jours et jusqu’à l’Océan Indien

Le chef des Houthis du Yémen, Abdul Malik al-Houthi, a affirmé avoir lancé 14 opérations en quinze jours en mer Rouge, dans le golfe d’Aden, en mer d’Arabie et jusque dans l’océan Indien.

« Le trafic maritime des (navires liés aux) pays européens qui ne se dirigent pas vers Israël ne risque rien », a-t-il ajouté lors d’une allocution télévisée.

Les Houthis du Yémen, alliés à l’Iran, ont lancé de nombreuses attaques de drones et de missiles contre Israël et sur la mer Rouge, le détroit de Bab el-Mandab et le golfe d’Aden depuis novembre, afin de soutenir les Palestiniens dans la guerre en cours entre Israël et le Hamas.

L’équipe du Times of Israel a contribué à cet article.

Alerte de drones dans les villes proches de la frontière libanaise

Les sirènes ont de nouveau retenti dans plusieurs localités proches de la frontière nord, en raison d’une attaque présumée de drones.

C’est la deuxième fois aujourd’hui que des alertes retentissent dans des villes en grande partie évacuées, notamment Arab al-Aramshe, Ya’ara, Hanita, Gornot HaGalil, Goren, Eilon et Adamit.

Depuis le 8 octobre, le Hezbollah attaque quotidiennement les communautés israéliennes et les postes militaires le long de la frontière au moyen de roquettes, de drones, de missiles antichars et d’autres moyens, affirmant qu’il le fait en soutien à la bande de Gaza dans le cadre de la guerre qui s’y déroule.

Washington et Londres imposent des sanctions contre l’Iran, visant des fabricants de drones

Les Etats-Unis et le Royaume-Uni ont imposé jeudi des sanctions contre l »Iran, ciblant « le programme iranien de drones, « l’industrie sidérurgique et les constructeurs automobiles », après l’attaque du weekend dernier contre Israël, a annoncé le département américain du Trésor.

Les sanctions de Washington visent « 16 personnes et deux entités permettant la production de drones iraniens » dont les Shahed qui « ont été utilisés lors de l »attaque du 13 avril », est-il précisé. Celles de Londres ciblent « plusieurs organisations militaires iraniennes, individus et entités impliqués dans les industries iraniennes de drones et missiles balistiques ».

Les Etats-Unis et Israël tiennent une réunion virtuelle de suivi sur Rafah

WASHINGTON – Les hauts responsables américains et israéliens tiennent une réunion virtuelle de suivi pour discuter d’une éventuelle opération militaire israélienne à Rafah, a déclaré un responsable américain au Times of Israel.

La partie américaine de la réunion d’aujourd’hui sera dirigée par le conseiller à la sécurité nationale Jake Sullivan, tandis que la partie israélienne sera dirigée par le ministre des affaires stratégiques Ron Dermer et le président du Conseil de sécurité nationale Tzachi Hanegbi.

La première réunion virtuelle a eu lieu le mois dernier, après que le Premier ministre Benjamin Netanyahu a répondu à la demande du président américain Joe Biden de créer ce panel.

Washington cherche à utiliser ces réunions pour convaincre Israël d’envisager d’autres solutions que la vaste offensive qu’il a déclaré vouloir lancer dans la ville de Gaza, à l’extrême sud du pays.

Israël a déclaré qu’il ne passerait à l’offensive qu’après avoir évacué plus d’un million de Palestiniens réfugiés à Rafah, mis en place des mécanismes garantissant la satisfaction de leurs besoins humanitaires et assuré la coordination avec l’Égypte.

Les États-Unis ne sont guère convaincus qu’Israël sera en mesure de mener à bien une évacuation de cette ampleur tout en garantissant la sécurité des civils à Rafah.

Au lieu de cela, elle pousse Israël à mener des opérations plus ciblées contre les dirigeants du Hamas à Rafah tout en se coordonnant avec Le Caire afin de sécuriser la frontière entre l’Egypte et Gaza, en créant un mur souterrain pour empêcher la contrebande d’armes et étouffer les éléments terroristes restants dans la région, a déclaré un second responsable américain au Times of Israel.

L’Iran va-t-il revoir sa « doctrine nucléaire » face à la possibilité d’une attaque israélienne ?

Sur cette capture d'écran de l'IRIB (Islamic Republic Iran Broadcasting), la télévision d'Etat, trois versions de centrifuges fabriquées dans le pays dans un programme diffusé en direct depuis Natanz, une structure d'enrichissement d'uranium en Iran, le 6 juin 2018 (Crédit : IRIB via AP)
Sur cette capture d'écran de l'IRIB (Islamic Republic Iran Broadcasting), la télévision d'Etat, trois versions de centrifuges fabriquées dans le pays dans un programme diffusé en direct depuis Natanz, une structure d'enrichissement d'uranium en Iran, le 6 juin 2018 (Crédit : IRIB via AP)

Selon l’agence de presse semi-officielle Tasnim, l’Iran pourrait revoir sa « doctrine nucléaire » en raison des menaces israéliennes après l’attaque sans précédent de missiles et de drones lancée par Téhéran, selon un haut commandant du Corps des gardiens de la révolution islamique d’Iran.

« Une révision de notre doctrine et de notre politique nucléaires, ainsi que des considérations précédemment communiquées, est tout à fait possible », déclare Ahmad Haghtalab, commandant du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI) chargé de la sécurité nucléaire.

Téhéran a longtemps affirmé que son programme nucléaire était destiné à des fins civiles. Israël a accusé l’Iran de vouloir se doter d’une bombe atomique et a déclaré qu’il ne le tolèrerait pas.

L’Iran assure aux Etats-Unis ne pas vouloir « une expansion des tensions » avec Israël

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, s'exprimant lors d'une conférence de presse, à Colombo, au Sri Lanka, le 20 février 2024. (Crédit : Eranga Jayawardena/AP Photo)
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, s'exprimant lors d'une conférence de presse, à Colombo, au Sri Lanka, le 20 février 2024. (Crédit : Eranga Jayawardena/AP Photo)

Le chef de la diplomatie iranienne a déclaré que son pays avait fait passer plusieurs « messages » aux Etats-Unis pour assurer que l’Iran ne cherchait « pas une expansion des tensions » au Moyen-Orient avec Israël, a indiqué jeudi son ministère.

« Ce qui peut accroître les tensions dans la région, c’est le comportement du régime sioniste [Israël] », a dit Hossein Amir-Abdollahian à son arrivée dans la nuit de mercredi à jeudi à New York pour une réunion du Conseil de sécurité de l’ONU.

M. Ami-Abdollahian a insisté sur le fait que « des messages avaient été envoyés avant et après l’opération » aux Etats-Unis, essentiellement par l’intermédiaire de l’ambassade suisse à Téhéran, qui représente les intérêts américains en Iran en l’absence de relations diplomatiques entre les deux pays. Ces échanges visaient « à établir une compréhension correcte de l’action de l’Iran », selon lui.

« Nous avons dit clairement aux Américains que la décision (…) de répondre au régime » israélien, à la suite de la frappe attribuée à Israël contre le consulat iranien à Damas le 1er avril, était « définitive », a dit le ministre.

« Nous avons essayé de dire clairement aux Etats-Unis dans ces messages que nous ne sommes pas à la recherche d’une expansion des tensions dans la région », a-t-il ajouté.

A New York, M. Amir-Abdollahian a prévu de s’entretenir avec le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres et avec d’autres ministres des Affaires étrangères en marge de la réunion du Conseil de sécurité qui doit débattre d’une demande des Palestiniens de devenir un membre à part entière des Nations unies.

Washington a catégoriquement nié avoir avoir reçu ces présumés avertissements.

Tsahal : le chef des interrogatoires du Hamas à Beit Hanoun tué dans une frappe aérienne

Le chef des interrogatoires de la sécurité intérieure du Hamas, à Beit Hanoun, dans le nord de Gaza, a été tué dans une frappe aérienne cette semaine, ont annoncé l’armée et le Shin Bet.

Yousef Shabat avait par ailleurs travaillé au sein de la division du renseignement de l’aile armée du Hamas, dans son bataillon de Beit Hanoun, a précisé Tsahal.

« Sa mort va considérablement porter préjudice au service des enquêtes de l’organisation », explique le communiqué conjoint.

Par ailleurs, l’armée israélienne a revendiqué la frappe aérienne sur un véhicule à l’intérieur duquel avaient pris place une dizaine d’hommes armés : tous auraient été tués. Cette frappe aurait été menée sur la foi de « renseignements précis » sur les agents en question.

Cette nuit, dans le quartier chic Rimal de la ville de Gaza, des avions de chasse ont frappé un lanceur de mortier utilisé pour lancer des projectiles sur ses soldats, a indiqué l’armée israélienne.

Mercredi, l’armée de l’air a frappé des dizaines d’autres cibles dans Gaza – postes d’observation, locaux du Hamas, agents et infrastructures.

Lufthansa annonce prolonger la suspension de ses vols pour Téhéran et Beyrouth

Des avions de la compagnie Lufthansa stationnés à l'aéroport de Francfort, en Allemagne, le 2 septembre 2022. (Crédit : Michael Probst/AP Photo/Dossier)
Des avions de la compagnie Lufthansa stationnés à l'aéroport de Francfort, en Allemagne, le 2 septembre 2022. (Crédit : Michael Probst/AP Photo/Dossier)

La compagnie aérienne allemande Lufthansa a annoncé jeudi prolonger jusqu’au 30 avril la suspension de ses vols à destination et en provenance de Téhéran et Beyrouth dans le contexte des vives tensions au Moyen-Orient.

« Nos vols pour Téhéran et Beyrouth sont annulés jusqu’au 30 avril inclus et nous continuons à ne pas utiliser l’espace aérien iranien jusqu’à cette même date », a indiqué un porte-parole de la compagnie à l’AFP.

19 personnes toujours hospitalisées après la chute d’un drone du Hezbollah dans le nord d’Israël

Un drone du Hezbollah lancé depuis le Liban s'abat sur un centre communautaire de la communauté frontalière nord d’Arab al-Aramshe le 17 avril 2023 (Capture d’écran X : utilisée conformément à l’article 27a de la loi sur les droits d’auteur)
Un drone du Hezbollah lancé depuis le Liban s'abat sur un centre communautaire de la communauté frontalière nord d’Arab al-Aramshe le 17 avril 2023 (Capture d’écran X : utilisée conformément à l’article 27a de la loi sur les droits d’auteur)

Dix-neuf personnes blessées dans l’explosion d’un drone lancé hier depuis le Liban sur la ville d’Arab al-Aramshe, dans le nord du pays, se trouvent toujours à l’hôpital de Galilée à Nahariya.

Les victimes souffrent de blessures causées par l’explosion ou des éclats d’obus, parfois les deux. L’une d’entre elles, dans un état critique, est prise en charge par l’unité de soins intensifs.

Trois autres, dans un état grave mais stable, se trouvent également aux soins intensifs. Les autres blessés, dans un état bon à modéré, sont pris en charge au niveau des services chirurgicaux et orthopédiques.

Selon le Dr Michael Wiess, chef de l’unité de traumatologie de cet hôpital, cinq de ces blessés ont été opérés hier.

Le G7 doit montrer une « réaction » après l’attaque iranienne, selon Berlin

Le ministre britannique des Affaires étrangères David Cameron (à gauche), le chef de la politique étrangère de l'Union européenne Josep Borrell (à gauche), le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken (à gauche), le ministre français des Affaires étrangères Stéphane Séjourné (à droite), la ministre canadienne des Affaires étrangères Mélanie Joly (à droite), le ministre italien des Affaires étrangères Antonio Tajani (à droite), la ministre japonaise des Affaires étrangères Yoko Kamikawa (à droite) et la ministre allemande des Affaires étrangères Annalena Baerbock (à gauche) assistant à la réunion des ministres des Affaires étrangères du G7, sur l'île de Capri, le 18 avril 2024. (Crédit : Remo Casilli/POOL/AFP)
Le ministre britannique des Affaires étrangères David Cameron (à gauche), le chef de la politique étrangère de l'Union européenne Josep Borrell (à gauche), le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken (à gauche), le ministre français des Affaires étrangères Stéphane Séjourné (à droite), la ministre canadienne des Affaires étrangères Mélanie Joly (à droite), le ministre italien des Affaires étrangères Antonio Tajani (à droite), la ministre japonaise des Affaires étrangères Yoko Kamikawa (à droite) et la ministre allemande des Affaires étrangères Annalena Baerbock (à gauche) assistant à la réunion des ministres des Affaires étrangères du G7, sur l'île de Capri, le 18 avril 2024. (Crédit : Remo Casilli/POOL/AFP)

Le G7 doit montrer « une réaction » après l’attaque « sans précédent » de l’Iran contre Israël, a estimé la cheffe de la diplomatie allemande lors d’une réunion de ce forum sur l’île italienne de Capri.

« Nous discutons ici aussi au sein du G7 de mesures supplémentaires », a déclaré Annalena Baerbock, alors que les Occidentaux envisagent notamment des sanctions renforcées contre Téhéran, tout en insistant sur la nécessité d’éviter « une escalade ».

Avant de se rendre à Capri, Baerbock et son homologue britannique David Cameroun ont fait étape mercredi à Jérusalem.

Dans le sillage de Washington, Cameron a souhaité à cette occasion que les pays du G7 infligent des « sanctions coordonnées » à l’Iran, l’accusant d’être derrière « tellement d’activités malveillantes » dans la région, déjà déstabilisée par l’assaut barbare du groupe terroriste palestinien du Hamas sur le sud d’Israël le 7 octobre. Les pays du G7 doivent envoyer « un message clair, sans équivoque » à Téhéran, a-t-il insisté.

Des sirènes d’alerte retentissent dans les villes frontalières du nord

Des sirènes retentissent dans un certain nombre de localités proches de la frontière septentrionale, avertissant d’une potentielle attaque de drones.

Mercredi, 14 soldats et quatre civils ont été blessés lorsqu’un drone explosif tiré depuis le Liban a frappé un centre communautaire dans la ville frontalière d’Arab al-Aramshe, au nord du pays.

Depuis le 8 octobre, le Hezbollah attaque quotidiennement les communautés israéliennes et les postes militaires le long de la frontière avec des roquettes, des drones, des missiles antichars et d’autres moyens, affirmant qu’il le fait pour soutenir Gaza dans le cadre de la guerre qui s’y déroule.

Maersk : Les opérations vers, de et en Israël fonctionnent normalement

Un camion passant devant des conteneurs portant le logo du géant danois du transport maritime Maersk et Maersk Sealand empilés dans une station de transbordement, à Francfort-sur-le-Main, dans l'ouest de l'Allemagne, le 23 janvier 2024. (Crédit : Kirill Kudryavtsev/AFP)
Un camion passant devant des conteneurs portant le logo du géant danois du transport maritime Maersk et Maersk Sealand empilés dans une station de transbordement, à Francfort-sur-le-Main, dans l'ouest de l'Allemagne, le 23 janvier 2024. (Crédit : Kirill Kudryavtsev/AFP)

La compagnie maritime danoise Maersk affirme que ses opérations en Israël n’ont pas été perturbées.

« En ce moment, toutes les opérations de Maersk à destination, en provenance et à l’intérieur d’Israël fonctionnent normalement, sans perturbation », indique la compagnie dans un avis aux clients sur son site web.

Les Houthis du Yémen ont commencé à attaquer les navires dans le golfe d’Aden et la mer Rouge en novembre dernier, une action destinée, selon eux, à marquer leur solidarité avec les Palestiniens de Gaza dans le cadre de la guerre entre Israël et le Hamas, qui a débuté par l’assaut barbare du groupe terroriste palestinien sur le sud d’Israël, le 7 octobre dernier.

Les attaques des Houthis ont perturbé le transport maritime mondial, obligeant les entreprises à se réorienter vers des trajets plus longs et plus coûteux autour de l’Afrique australe. Le coût de l’assurance d’un voyage de sept jours à travers la mer Rouge a augmenté de plusieurs centaines de milliers de dollars.

Un Palestinien qui aurait des liens avec l’EI arrêté, soupçonné de préparer un attentat imminent

Des agents de la police des frontières ont arrêté un Palestinien prétendument affilié au groupe terroriste de l’État islamique (EI), qui prévoyait de perpétrer un attentat terroriste « dans les plus brefs délais ».

Le suspect a été arrêté dans la ville cisjordanienne de Beitunia, située non loin de Ramallah, à la suite de renseignements fournis par l’agence de sécurité intérieure du Shin Bet, précise la police.

Selon la police, le suspect a tenté de s’enfuir lorsqu’ils ont atteint son domicile, et a été arrêté alors qu’il tentait de saisir l’arme de l’un des officiers.

Il a été remis au Shin Bet pour un nouvel interrogatoire.

Le Hezbollah annonce la mort de 2 de ses éléments dans des frappes israéliennes

Le groupe terroriste chiite libanais du Hezbollah annonce la mort de deux de ses éléments, tué « sur la route de Jérusalem », terme utilisé pour désigner les terroristes tués lors d’une frappe israélienne.

Il s’agit d’Ali Hamada, de Doueir, et de Muhammad Shami, originaires de Kfar Kila.

Cette annonce fait suite à l’annonce par l’armée israélienne de la mort de deux terroristes du Hezbollah lors d’une frappe aérienne à Kfar Kila dans la nuit.

Leur mort porte à 280 le bilan du groupe terroriste depuis le début de la guerre contre le groupe terroriste palestinien du Hamas dans la bande de Gaza.

Tsahal : Des avions ont frappé des sites et des terroristes du Hezbollah au sud-Liban

L’armée israélienne a frappé des sites et des éléments du groupe terroriste chiite libanais du Hezbollah dans le sud du Liban au cours de la nuit.

À Khiam, Tsahal indique que des avions de combat ont frappé deux bâtiments utilisés par le Hezbollah et d’autres infrastructures.

À Kfar Kila, une frappe aérienne a tué deux terroristes du Hezbollah, ajoute l’armée.

L’Algérie accorde un financement exceptionnel de 15 M de dollars à l’UNRWA – média

L’Algérie a accordé à l’Office controversé de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA) un fonds exceptionnel de 15 millions de dollars, rapporte la télévision publique algérienne.

Katz salue la décision de l’UE d’imposer des sanctions aux producteurs iraniens de drones et de missiles

Le ministre des Affaires étrangères Israel Katz, à Jérusalem, le 19 février 2024. (Crédit : Chaïm Goldberg/Flash90)
Le ministre des Affaires étrangères Israel Katz, à Jérusalem, le 19 février 2024. (Crédit : Chaïm Goldberg/Flash90)

Le ministre des Affaires étrangères Israel Katz salue la décision des dirigeants de l’Union européenne d’imposer de nouvelles sanctions aux producteurs iraniens de drones et de missiles après l’attaque sans précédent menée par Téhéran le week-end dernier contre Israël.

« Je félicite les pays de l’UE pour leur décision d’imposer des sanctions à l’Iran », écrit Katz sur X.

« Il s’agit d’une étape importante sur la voie du désamorçage du serpent – et je remercie tous nos amis pour leur soutien et leur assistance. Il faut arrêter l’Iran maintenant, avant qu’il ne soit trop tard. »

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